Fondé sur le Roc
Par Mr le Pasteur Michel Maréchal

LES DONS SPIRITUELS

Ils constituent l’équipement surnaturel de l’Église pour le témoignage, l’édification et le combat spirituel.

Ils sont distribués à chacun pour l’utilité commune, pour le bien de l’Église, selon la volonté du Seigneur.

Les dons de l’Esprit sont la preuve et l’expression de la présence du Saint-Esprit dans les hommes.

Dieu ne veut pas que les chrétiens soient dans l’ignorance au sujet des dons spirituels. (1 Corinthiens : 12 / 1)

A. Qui peut exercé les dons spirituels ?

Non pas tout homme né de la chair, ni même tout homme né de nouveau, mais chaque chrétien rempli du Saint-Esprit.

Les dons de l’Esprit sont la preuve extérieure de la présence du Saint-Esprit chez ceux qui en ont reçu le baptême (1 Corinthiens : 12 / 7)

Chaque chrétien baptisé de l’Esprit doit rechercher « avec ardeur » les dons les meilleurs (1 Corinthiens : 12 / 31 ; 1 Corinthiens : 14 / 1)

B. Classification des dons spirituels :
(1 Corinthiens : 12 / 8-11)

1. Dons de révélation :

a) Parole de sagesse : Révélation surnaturelle de la volonté divine « des desseins de Dieu »

b) Parole de connaissance : Révélation surnaturelle des faits connus de Dieu

c) Discernement des esprits : Vision surnaturelle dans le domaine des esprits

 
2. Dons de puissance :

a) Foi : Confiance surnaturelle « passive » en Dieu pour les choses miraculeuses

b) Don des miracles : Intervention surnaturelle « active » dans le cours ordinaire de la nature

c) Dons de guérisons : Puissance surnaturelle pour guérir les malades

 
3. Dons d’inspiration :
« dons vocaux »

a) Prophétie : Expression surnaturelle dans une langue connue

b) Don des langues : Expression surnaturelle dans une langue inconnue

c) Interprétation des langues : Interprétation surnaturelle de la signification des langues inconnues

Par les dons de l’Esprit, l’homme voit ce que Dieu voit, fait ce que Dieu fait et se trouve là où Dieu est, « selon sa volonté »

Tous ces dons sont cent pour cent miraculeux.

Il n’y a aucun élément naturel en eux.

Ils sont tous au-dessus et indépendants de n’importe quelle sagesse ou capacité que l’homme possède ou puisse posséder en dehors d’eux.

 
C. La parole de sagesse : 

La sagesse surnaturelle n’est pas une sagesse naturelle accrue, développée ou intensifiée.

Ce don de révélation surnaturelle de la pensée et de la volonté de Dieu, le déploiement surnaturel de son intention concernant les choses, les endroits, les individus, les notions ; La parole de sagesse ne s’exprime pas seulement par la prédiction d’évènements futurs, mais encore par les ordres et les instructions que Dieu donne, et qui émanent de sa connaissance de ces évènements.

a) Pour avertir et guider les hommes quant aux jugements et aux dangers futurs (Genèse : 6 / 13-22 ; Hébreux : 11 / 7)

b) Pour révéler le plan de Dieu à ceux dont il va se servir (Genèse : 41/ 16, 28-41)

c) Pour convaincre un serviteur de Dieu de sa mission divine (Exode : 3 / 3-10)

d) Pour révéler l’ordre et la conduite à tenir dans le culte et l’adoration (Exode : 25 / 40)

e) Pour déployer devant un sectaire étroit l’universalité de la grâce divine (Actes : 10 / 9-15)

f) Pour assurer la délivrance au sein du désastre (Actes : 27 / 23-26)

g) Pour annoncer les actes et les bienfaits futurs de Dieu, ainsi que ses mystères éternels (1 Corinthiens : 15 / 51-54 ; Éphésiens : 3 / 3-6)

h) Pour donner l’assurance d’une bénédiction future (Genèse : 28 / 10-15)

 
D. La parole de connaissance :

Ce n’est pas une amplification de la connaissance humaine, ni une acquisition par l’étude, ni le fruit d’une faculté naturelle, mais un don de révélation, sans aucun effort de l’homme.

Elle est la révélation surnaturelle par le Saint-Esprit de certains faits présents dans la pensée de Dieu. 

Dieu connaît chaque être, chaque lieu, et chaque chose existante.

Il est conscient de toutes en même temps.

La parole de connaissance est la révélation à l’homme par le Saint-Esprit de quelque détail de cette omniscience.

Ce n’est pas le don de connaissance, mais une « parole » de connaissance.

Elle n’est pas nécessairement exprimée par la voix, mais elle devient vocale lorsque la révélation qu’elle apporte est communiquée à d’autres. (1 Samuel : 3 / 10-14)

a) Pour avertir un roi des plans de son ennemi (2 Rois : 6 / 9-12)

b) Pour éclairer et ranimer un serviteur de Dieu découragé (1 Rois : 19 / 14-18)

c) Pour dévoiler un hypocrite (2 Rois : 5 / 20-27)

d) Pour convaincre un pécheur de la nécessité d’un Sauveur (Jean : 4 / 16-19)

e) Pour découvrir un homme qui se cache (1 Samuel : 10 / 22)

f) Pour indiquer un homme dans le besoin (Actes : 9 / 11)

g) Pour révéler la corruption dans l’Église (Actes : 5 / 3)

h) Pour indiquer un lieu de rassemblement approprié pour le peuple de Dieu (Marc : 14 / 13-16)

i) Pour connaître les pensées des hommes (Jean : 2 / 24-25 ; 1 Samuel : 9 / 19)

 
E. Le discernement des esprits :

Il y a trois sortes d’esprits : le divin, le satanique et l’humain.

Seuls l’esprit divin et l’esprit satanique sont surnaturels.

Le discernement des esprits consiste à distinguer le divin du satanique, au moment où a lieu un miracle, ou dans n’importe quelle manifestation surnaturelle.

Ce n’est pas une investigation psychologique, comme la chiromancie, la clairvoyance, l’hypnotisme, le spiritisme, magie, l’occultisme qui sont autant de forces surnaturelles, mais d’origine satanique.

Ce n’est pas non plus une capacité pour découvrir les fautes d’autrui.

a) Pour aider à délivrer les affligés, les opprimés, les tourmentés.

La possession démoniaque est responsable de plus de troubles mentaux que la plupart des gens ne le reconnaissent aujourd’hui.

Il y a plus d’infirmités, de cruautés et de suicides provenant des mauvais esprits que les médecins ne le conçoivent.

Les âmes sont, comme par le passé, tourmentées et ruinées par des puissances diaboliques cruelles, qui les jettent en proie à la frénésie, les poussant à des actes de violence et à leur propre destruction. (Marc : 5 / 1-13 ; Luc : 9 / 38-43 ; Actes : 5 / 16 ; Matthieu : 12 / 22 ; Marc : 9 / 17- 27 ; Luc : 13 / 11-16)

b) Pour découvrir un serviteur du diable (Actes : 16 / 16-18)

c) Pour aider à déjouer les plans de l’adversaire (Actes : 16 / 16-18)

d) Pour dénoncer une erreur flagrante (1 Timothée : 4 / 1 ; 2 Pierre : 2 / 1)

e) Pour démasquer ceux qui opèrent des miracles par les démons (2 Thessaloniciens : 2 / 9 ; Apocalypse : 16 / 14)

 
F. Le don de foi :

Il est autre chose que la foi qui sauve (Actes : 16 / 31)

C’est un don miraculeux.

La foi qui sauve précède le salut, la foi fruit de l’Esprit (Galates : 5 / 22), vient après le salut ; enfin, le don de foi vient après le baptême dans le Saint-Esprit.

Le don de foi est un revêtement surnaturel par l’Esprit, selon lequel la parole prononcée ou la volonté exprimée se produit, qu’il s’agisse de Dieu ou de l’homme.

Le don de foi est tout à fait distinct de cette « foi générale » qu’il faut pour tous les dons.

a) Le don de foi était employé pour bénir surnaturellement, en accomplissement de déclarations humaines (Genèse. 27 / 26-29 ; Hébreux : 11 / 20)

b) Pour une protection personnelle dans le danger (Daniel : 6 / 16-23 ; Hébreux : 11 / 33 ; Luc : 4 / 28-30)

c) Ce don soutient surnaturellement à travers la famine ou le jeûne (1 Rois : 17 / 3-6)

La foi semble être avant tout le don qui protège les serviteurs de Dieu dans le danger et la détresse, tels la famine, les bêtes sauvages, les éléments « eau et feu », la guerre, les puissances invisibles.

La foi considère calmement le danger, pendant que Dieu soutient, ou dénoue la situation

d) Pour rendre capable de recevoir les promesses incroyables de Dieu (Genèse : 21 / 5 ; Romains : 4 / 17-21)

e) Afin de punir, par l’Esprit, les offenses grossières (1 Corinthiens : 5 / 3-5 ; 2 Rois : 2 / 23-24)

f) Pour la victoire surnaturelle dans le combat (Exode : 17 / 8-11)

g) Pour aider dans les difficultés de vie journalière (2 Rois : 4 / 1-7)

h) Afin de ressusciter les morts (Jean : 11 / 38-44 ; Actes : 9 / 40)

i) Déplacer des montagnes « montagnes véritables », dessécher et déraciner des arbres, chasser les démons, voilà des miracles qui se rattachent spécialement à ce merveilleux don (Marc : 11 / 20-21 ; Luc : 17 / 6 ; Matthieu : 17 / 20-21)

 
G. Le don d’opérer des miracles :

Un miracle est une intervention surnaturelle dans le cours de la nature, une suspension temporaire de l’ordre habituel, une interruption du système naturel tel que nous le connaissons. 

Le don des miracles se manifeste par des renversements ou suspensions des lois naturelles. 

Un miracle est un acte souverain de l’Esprit de Dieu, acte qui ne tient compte ni des lois ni des systèmes.

Dieu n’est pas limité par ses propres lois. 

L’opération des miracles produit des œuvres de puissances.

Dans l’original, les miracles sont  appelés « puissances », ce qui signifie : explosions de toute-puissance, « merveilles », forçant à un étonnement extraordinaire ; œuvres ou preuves que Dieu marche au milieu des hommes ; « signes », preuves visibles d’une puissance invisible. 

Les miracles de Jésus étaient pour les hommes, le signe de sa divinité.

a) Il fut employé pour la délivrance du peuple de Dieu des mains de ses ennemis (Exode : 15 / 6-10)

b) Afin de pourvoir aux besoins de ses enfants (Exode : 15 / 25 ; Exode : 17 / 5-6 ; Marc : 6 / 35-44 ; Jean : 2 / 1-11)

c) Pour exécuter les sentences et les jugements divins (Exode : 7 / 1-5)

d) Afin de confirmer la Parole prêché (Actes : 13 / 11-12)

e) Afin d’apporter la délivrance dans les situations dangereuses (Matthieu : 8 / 23-27)

f) Afin de faire éclater la puissance et la magnificence de Dieu (Jean : 10 / 25)

 
H. Le don des guérisons :

Ces dons sont pour la guérison surnaturelle des maladies et des infirmités, sans moyen naturel d’aucune sorte. 

Ils sont des manifestations miraculeuses destinées à bannir tous les maux humains, qu’ils soient organiques, fonctionnels ou nerveux, aigus ou chroniques.

a) Ils sont là tout d’abord pour délivrer les malades et détruire les œuvres du diable dans le corps humain (Actes : 10 / 38 ; Matthieu : 8 / 3-7)

b) Pour étayer les prétentions étonnantes du Christ (Jean : 10 / 36-38 ; Marc : 2 / 3-12)

c) Pour donner autorité au message évangélique prêché par les serviteurs de Dieu (Actes : 4 / 29-33 ; Actes : 8 / 6-7)

d) Afin de prouver la résurrection de Jésus (Actes : 3 / 15-16)

e) Pour amener les gens à écouter l’Évangile (Jean : 6 / 2)

f) Pour amener les gens à Dieu (Actes : 9 / 33-35)

g) Pour convaincre les incrédules de la vérité de la Parole de Dieu, si mystérieuse soit-elle (Jean : 14 / 11)

h) Pour donner gloire à Dieu (Marc : 2 / 12 ; Luc : 13 / 17)

i) Pour donner foi et courage au peuple de Dieu

 
I. Don de la prophétie :

Le mot grec signifie : « parler pour », parler pour Dieu : être son porte-parole, sa bouche. 

Sous sa forme la plus simple, la prophétie est l’expression d’un message divin, donné sous l’action de l’Esprit, dans une langue connue. 

Elle est entièrement surnaturelle. 

C’est une manifestation de l’Esprit de Dieu et non pas de la pensée humaine. 

Ce dont peut-être possédé par tous ceux qui ont été baptisés dans le Saint-Esprit. 

« Car vous pouvez tous prophétiser l’un après l’autre » (1 Corinthiens : 14 / 31)

Tous doivent aspirer au don de prophétie, le désirer avec ardeur (1 Corinthiens : 14 / 1)

En plus du parler en langues, un croyant peut-être revêtu de la prophétie, ou de tout autre don, lors de son baptême dans le Saint-Esprit, comme à Éphèse (Actes : 19 / 6)

Mais nous ne trouvons nulle part d’indication que la prophétie prenne la place du parler en langues comme signe initial du baptême dans le Saint-Esprit.

Ce don n’est pas destiné à remplacer la Parole écrite de Dieu. 

La parole de l’homme, même lorsqu’elle entend parler pour Dieu, est toujours faillible, tandis que la Parole de Dieu est infaillible !

L’Écriture dit que la prophétie doit être jugée, si cela est nécessaire, par les autres prophètes présents.

Une prophétie qui n’est pas en accord avec la Parole de Dieu, ou qui ne tombe pas sous la définition scripturaire doit être immédiatement rejetée comme n’ayant aucune valeur, ou même comme nuisible. (Ézéchiel : 13 / 1-9)

Celui qui possède le don est responsable de son emploi, de son abus, de sa suppression et de son contrôle. 

Les esprits des prophètes sont soumis aux prophètes (1 Corinthiens : 14 / 32)

Il ne faut pas mépriser les dons de prophéties (1 Timothée : 5 / 20)

Comme pour tous les dons, la foi doit être à l’œuvre dans la prophétie, et les choses prononcées doivent être à la mesure de la foi que l’on possède (Romains : 12 / 6)

Si nous prophétisons de grands réveils et de grandes délivrances dans nos assemblées, et que ces choses ne se réalisent pas, nous avons prophétisé au-delà de la mesure de notre foi. 

Il ne peut y avoir de bénédiction dans une telle prophétie.

a) La prophétie est destinée à parler surnaturellement aux hommes (1 Corinthiens : 14 / 3)

b) Pour l’édification de l’Église, ensemble des croyants. 

C’est un don qui ne doit s’exercer que dans les réunions de l’Église (1 Corinthiens : 14 / 4)

c) Afin d’exhorter, encourager l’Église (1 Corinthiens : 14 / 3)

d) Afin de consoler l’Église, réconforter, soulager dans l’épreuve ou la détresse (1 Corinthiens : 14 / 3)

e) Afin de convaincre celui qui ne croit pas et de révéler les secrets de son cœur (1 Corinthiens : 14 / 24-25)

Elle sert de message direct de Dieu pour les incrédules.

 
J. Le don de la diversité des langues :

C’est une expression surnaturelle, par le Saint-Esprit, dans une langue que celui qui la parle n’a jamais apprise. 

Il ne la comprend pas. 

Lorsqu’un homme parle en langues, sa pensée, sa réflexion et son raisonnement sont au repos. 

Il ne faut pas confondre avec une certaine habileté oratoire inspirée. 

Jésus lui-même institua le don des langues (Marc : 16 / 17)

a) Le parler en langue est la preuve scripturaire du baptême dans le Saint-Esprit (Actes : 2 / 4 ; Actes : 10 / 46 ; Actes : 19 / 6 ; 1 Corinthiens : 14 / 18)

b) Afin que les hommes puissent parler surnaturellement avec Dieu (1 Corinthiens : 14 / 2)

c) Afin que les croyants puissent louer Dieu (Actes : 10 / 46)

d) Afin que nous puissions nous édifier nous-mêmes (1 Corinthiens : 14 / 4)

e) Afin que notre esprit puisse prier, en dehors de notre entendement (1 Corinthiens : 14 / 15)

f) Afin que, avec l’aide du don d’interprétation, l’Église en reçoive de l’édification (1 Corinthiens : 14 / 5, 13 et 26)

g) Les langues sont un signe pour ceux qui ne croient pas (1 Corinthiens : 14 / 22)

Par (1 Corinthiens : 14 / 27), nous apprenons que le nombre de messages autorisés dans une assemblée est limité à trois, « deux ou trois tout au plus », non pas simultanément, mais l’un après l’autre, « chacun à son tour »

Le verset : 28 nous interdit tout parler en langues s’il ne se trouve personne parmi nous qui soit en possession du don d’interprétation. 

Dieu dit expressément que nous ne devons pas empêcher de parler en langues (1 Corinthiens : 14 / 39)
L’édification est toujours un critère pour l’emploi judicieux des dons (1 Corinthiens : 14 / 26)

L’ordre et la bienséance sont ses seuls garants (1 Corinthiens : 14 / 40)

 
K. L’interprétation des langues :

L’interprétation des langues est l’exposé surnaturel, par l’Esprit, de la signification des paroles prononcées en langues inconnues. 

Celui qui emploie ce don ne comprend jamais la langue qu’il interprète, ce sont des mots inconnus. 

Il sert avant tout à rendre le don des langues intelligible afin que l’Église, comme celui qui possède le don, en reçoive de l’édification (1 Corinthiens : 14 / 5 et 27)

a) Ce n’est pas le don de traduction des langues. 

Une traduction est une version d’une langue dans une autre, en des termes ou des expressions grammaticalement équivalentes. 

Une interprétation est un exposé de la signification et peut s’exprimer en des termes très différents de la forme précise de l’original. 

Elle peut-être imagée, parabolique, descriptive ou littérale, suivant l’impulsion de l’Esprit et le caractère de celui qui interprète.

b) Le tempérament, les dons naturels et l’éducation, comme aussi la nationalité de celui qui possède ce don, exercent une influence sur ses paroles, mais le don n’en reste pas moins surnaturel.

c) Ceux qui parlent en langues sont exhortés à prier afin de recevoir ce don (1 Corinthiens : 14 / 13)

d) « Qu’il y en ait un qui interprète » (1 Corinthiens : 14 / 27)

Quelqu’un, non pas deux ou trois, doit interpréter le message. 

Pas de rivalités parmi les interprètes pour expliquer les déclarations de l’Esprit !

e) Donner un message en langues et donner ensuite soi-même l’interprétation  ne paraît pas une chose antiscripturaire (1 Corinthiens : 14 / 5)

f) D’après le verset : 27, aucun interprète, quand bien même il se sentirait sous l’onction et pressé par l’Esprit, n’a le droit d’interpréter un quatrième message en langues. 

Aucune pression de l’Esprit, si grande soit-elle, ne nous autorise à transgresser la Parole de Dieu. 
 
 



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