L'onction d'huile aux malades



L’ONCTION D’HUILE AUX MALADES

Épître de Jacques : 5 / 13 – 18

« Quelqu’un parmi vous est-il dans la souffrance ? Qu’il prie. Quelqu’un est-il dans la joie ? Qu’il chante des cantiques. Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné. Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace. Élie était un homme de la même nature que nous : il pria avec instance pour qu’il ne plût point, et il ne tomba point de pluie sur la terre pendant trois ans et six mois. Puis il pria de nouveau, et le ciel donna de la pluie, et la terre produisit son fruit. Mes frères, si quelqu’un parmi vous s’est égaré loin de la vérité, et qu’un autre l’y ramène, qu’il sache que celui qui ramènera un pécheur de la voie où il s’était égaré sauvera une âme de la mort et couvrira une multitude de péchés. »

Nous allons avec ces quelques versets entrer dans l’étude de ce que nous appelons l’onction d’huile aux malades, que d’autres appellerons « L’onction des malades » ;

En dehors des diverses actions ordonnées par le Seigneur pour obtenir la guérison divine, c’est-à-dire l’imposition des mains aux malades, la prière de la foi, les manifestations spirituelles de guérison ou don spirituel que le Seigneur a révélé dans sa Parole, il y a pour tous les chrétiens baptisés par immersion selon l’enseignement de l’Écriture Sainte un autre moyen de guérison des corps que l’on appelle :

L’ONCTION D’HUILE ou ONCTION DES MALADES

Onction, oindre : veut dire appliquer, frotter avec une substance grasse.

Mais selon la Parole de Dieu, c’est consacrer avec une huile sainte, quelqu’un ou quelque chose, ainsi l’onction d’huile revêt un caractère sacré, elle indique également une mise à part pour le service divin.

Mais avant d’entrer en détail dans le sujet de l’épître de Jacques, il est indispensable de constater pour tout lecteur attentif de la Parole de Dieu, que l’onction d’huile a marqué profondément la vie du peuple d’Israël et des croyants.

Elle a été pratiquée :

Sur les objets du culte

Sur les lépreux guéris

Sur les sacrificateurs

Sur les rois

Sur les prophètes

Sur les malades pendant le ministère du Seigneur Jésus

Dans le livre de l’Exode au chapitre 30 et dans les versets 22 à 38, nous trouvons les premières fois de l’onction d’huile.

a) Sur les ustensiles et objets du tabernacle au désert (Versets : 26 - 29)

b) Sur des hommes, mais pas tous les hommes, seulement sur ceux qui étaient au service de Dieu, les sacrificateurs (Versets : 30 - 31)

C’est une première porte ouverte sur l’importance et la valeur de l’onction d’huile. Elle marquait dans cette action le caractère sacré de l’onction avec le signe de l’approbation de Dieu.

Dans le livre du Lévitique : au chapitre 2 et les versets 1 à 10 ; au chapitre 7 et les versets : 9 à 12, ainsi qu’au chapitre 8, les versets : 1 à 13, l’onction d’huile a marqué les offrandes et les hommes du peuple de Dieu par son caractère sacré avec la bénédiction qu’elle apportait de la part de Dieu.

Ainsi l’huile qui est une image du Saint-Esprit a joué un rôle très important dans et sur la vie des hommes de Dieu, y apportant toujours l’approbation et la bénédiction divine.

Dans le livre du Lévitique : au chapitre 14 et les versets 1 à 32, nous remarquons deux choses importantes, l’onction d’huile a marqué le rétablissement du lépreux guéri et sa réintégration dans la vie et la communion du peuple de Dieu.

Si nous avons dans ce chapitre 14, l’image du salut par grâce et tout ce qu’il comporte comme bénédictions et particulièrement la purification de l’homme pécheur, les versets 15 et 18, l’onction d’huile, image du Saint-Esprit dans la vie du croyant, nous ouvre une porte toujours plus grande à la foi sur l’onction d’huile pour les malades.

Dans le 1er livre de Samuel : chapitre : 10 verset : 1 ; au chapitre : 16 versets : 3 et 13

Dans le 1er livre des Rois : au chapitre : 1 verset : 39 ; au chapitre : 19 versets : 15 et 16

Dans le 2ème livre des Rois : au chapitre : 9 verset : 6 ; au chapitre : 11 verset : 12.

L’onction d’huile avait un caractère sacré, elle mettait le sceau de l’approbation de Dieu dans le choix de ces rois.

Dans le 1er livre des Rois : au chapitre : 19 verset : 16.

Nous avons l’onction d’huile sur un prophète.

Dans le Nouveau-Testament : Dans l’évangile selon Marc : 6 versets : 6 à 13.

Le Seigneur Jésus avait confié le soin aux apôtres d’annoncer la Bonne Nouvelle avec la mission d’oindre également les malades de la maison d’Israël.

Il est bien dit à la fin du verset : 13 « Ils oignaient d’huile beaucoup de malades et les guérissaient ».

C’est bien une espérance toujours plus grande à mettre sa foi pour la guérison divine par l’onction d’huile aux malades.

Ainsi par le moyen de ces textes, nous voyons que l’onction d’huile a joué un rôle très important dans l’histoire d’Israël, le peuple choisi et élu de Dieu.

Partout l’onction d’huile avait un caractère sacré, elle était pour celui qui était oint une bénédiction divine et une approbation divine.

Ou encore : un retour à la bénédiction divine, un rétablissement dans la vie et la communion au peuple de Dieu, comme dans le cas du lépreux guéri du 14ème chapitre du Lévitique.

Voyons donc maintenant

L’ONCTION D’HUILE

selon l’enseignement de l’épître de Jacques

Remarquons tout de suite ces mots :

Quelqu’un parmi vous est-il malade ?

Comme cette épître est adressée tout spécialement à des chrétiens, nous devons donc admettre que toute forme de maladie peut atteindre des chrétiens.

Les cas de Job, Ezéchias, Trophime, Timothée sont des témoignages où la maladie a atteint des croyants pourtant très consacrés.

La maladie peut donc atteindre un enfant de Dieu.

Lorsqu’un chrétien est atteint par la maladie que doit-il faire en premier lieu ?

La Parole de Dieu répond par un impératif : Qu’il prie

Pourquoi ? Evidemment pour demander à Dieu sa guérison, lui faire connaître ses besoins, se décharger sur Lui de tous les soucis que lui donne sa maladie.

C’est le témoignage que le chrétien met toute sa foi en son Dieu et Père

- Voir : Philippiens : 4 / 6 ; 1 Pierre : 5 / 7.

La première chose donc que le chrétien doit faire dès que la maladie touche son corps, c’est de prier.

Au verset : 16, l’apôtre Jacques met une note toute particulière sur la prière faite avec ferveur, c’est-à-dire avec ardeur, enthousiasme, zèle. Il dit que cette manière de prier a une grande efficacité.

Et pour encourager les chrétiens à cette manière de prier, il cite en exemple la prière du prophète Élie. Élie était en tous points semblables aux chrétiens que nous sommes. Élie grâce à sa prière faite avec ardeur, zèle et ferveur a obtenu deux grands miracles de la part de Dieu, celui de fermer le ciel et celui de faire descendre la pluie au bout de trois ans et demi. Il nous est bien dit que la prière d’Élie était faite avec ardeur et zèle.

Quelqu’un est-il malade ? Qu’il prie.

Je crois également que l’apôtre Jacques veut conduire les chrétiens plus loin que la simple supplication. Il veut certainement amener les croyants à considérer que par la prière ils peuvent entrer dans la pensée du Seigneur à leur égard, ce que le Seigneur veut pour eux.

Exemple de David dans 1 Chroniques : 14 - Voir également la pensée du Psaume : 139 / 23 - 24. Il nous serait possible d’ajouter une quantité d’autres passages de l’Écriture Sainte.

Ainsi en priant le chrétien peut arriver à connaître l’origine de sa maladie et mieux encore le but recherché par Dieu à son intention. Il pourra donc prier en conséquence.

Il nous faut revenir aux diverses origines de la maladie. Dans la règle générale, la maladie est une des conséquences de la chute de l’homme et de l’état de servitude dans laquelle est plongée notre pauvre humanité.

Voyons aussi comment la maladie peut se manifester dans les corps en plus de cette règle générale.

a) La maladie peut venir de mauvaises conditions climatiques :

Les européens sont souvent malades en régions tropicales par exemple

D’insalubrité : Les bidonvilles par exemple

Alimentaires : Pays sous-développés ou trop mécanisés.

b) La maladie peut venir d’une attaque diabolique :

Pour éprouver et faire vaciller la foi du chrétien, comme dans le cas de Job par exemple. Ce passage est d’une grande utilité pour nous faire comprendre le pourquoi d’attaques subites de la maladie dans le corps des chrétiens.

c) La maladie peut être la conséquence d’imprudences :

Exemple : Si je transpire abondamment et que je boive glacé ou que je me place dans des courants d’air sans me couvrir, la maladie peut m’atteindre.

d) La maladie peut être la conséquence d’excès ou d’abus de toutes sortes :

Le corps des chrétiens étant devenu par la conversion le temple du Saint-Esprit, le corps humain ne doit en aucun cas être maltraité par des abus : plaisirs malsains, excès de table, le tabac, l’alcool et parfois même le travail.

- Voir : 1 Corinthiens : 3 / 16 - 17

e) La maladie peut être la conséquence d’un état de péché :

Bien entendu de péché volontaire, d’insoumission répétée à la volonté divine, le mépris et le rejet des enseignements divins et cela après plusieurs avertissements. Avertissements donnés par la prédication, donnés par les manifestations spirituelles, ou par les serviteurs de Dieu en entretien privé.

Ce très mauvais état spirituel du chrétien, ayant lassé la grande patience de Dieu, cela peut amener un jugement divin sur son corps.

Exemple : La lèpre de Marie, sœur de Moïse. Nombres : 12

La lèpre de Guéhazi, serviteur d’Élisée. 2 Rois : 5 / 20 - 27

La lèpre du roi Ozias. 2 Chroniques : 26 / 16 - 23.

Et enfin le passage bien connu de la première épître aux Corinthiens : 11 sur la Sainte Cène et particulièrement les versets 30 et 31.

La maladie est ici un sujet de correction divine en vue du redressement spirituel du chrétien pour qu’il marche ensuite en nouveauté de vie pour servir le Seigneur dignement.

Voilà donc quelques diverses origines de la maladie, il y en a certainement d’autres.

C’est pourquoi le chrétien malade doit prier pour connaître la pensée de Dieu et le but recherché par Dieu au travers de sa maladie, sachant qu’il peut obtenir par la prière fervente et persévérante, sa guérison.

Maintenant si le chrétien n’obtient pas sa guérison…

Doit-il se décourager ?

Doit-il renoncer ?

Doit-il abandonner le terrain de la foi ?

La réponse est : NON

Car au verset 14 : Il est dit que le chrétien doit faire appel aux anciens de l’église.

Pourquoi les anciens ?

Les anciens appelés plus communément dans nos églises : pasteurs, évangélistes, serviteurs de Dieu, sont seuls accrédités par Dieu pour exercer le ministère, car c’est à eux qu’il a été donné la responsabilité de veiller et de prendre soin des chrétiens, le troupeau de Dieu : 2 Pierre : 5 / 1 - 4

Nota important : Les frères les plus vieux baptisés ne sont pas forcément des anciens selon la Parole de Dieu, pas plus celui qui fait une réunion de temps en temps en remplacement du pasteur absent. Ni celui qui est membre du conseil d’administration de l’église.

Ancien : c’est une charge et un ministère pour l’édification des chrétiens.

En appelant les anciens le chrétien malade recherche la communion et l’union spirituelle de la foi qui sont dans le cas de la recherche de la guérison d’une grande importance. Vous savez comme moi, que la maladie a un terrible pouvoir de destruction dans l’esprit humain.

- Voir : Proverbes : 18 / 14 ; Proverbes : 12 / 25

La solitude conduit très souvent au découragement, au désespoir, à la résignation. C’est pourquoi le chrétien doit appeler les anciens car l’unité et la communion spirituelle conduisent à la foi. Le Seigneur Jésus a bien dit que là ou deux ou trois étaient assemblés en son Nom, Il était au milieu d’eux et que s’ils s’accordaient pour demander quelque chose, elle leur serait accordée. Matthieu : 18 / 19 - 20.

De plus, c’est aux anciens qu’appartient le ministère de l’onction d’huile. Verset : 14.

C’est alors que les anciens (pasteurs, évangélistes, serviteurs de Dieu) prieront avec et pour le malade en l’oignant d’huile.

Ils verseront (en général sur la tête) de l’huile.

Pourquoi de l’huile ?

Parce qu’elle est : Nous l’avons vu plus haut : L’image, le symbole : Du Saint-Esprit consolateur et vivifiant de la bénédiction et de l’approbation divine. De la force qui sortait de Jésus et qui guérissait les malades.

Ainsi donc : Si la maladie est due :

a) Au climat, à l’insalubrité, à une épidémie et que le chrétien n’a pu obtenir par sa prière la guérison.

Qu’il appelle les anciens, qu’ils l’oignent d’huile et le Seigneur relèvera le malade.

b) Si la maladie est due à une attaque diabolique et que le chrétien n’a pu obtenir seul sa délivrance.

Qu’il appelle les anciens…

c) Si la maladie est due à une imprudence et que le chrétien n’a pu obtenir sa guérison.

Qu’il appelle les anciens…

Et que cela lui serve de leçon pour être désormais plus prudent à l’avenir.

d) Si la maladie est due à des excès, des abus, des intempérances, etc…et que le chrétien n’a pu obtenir sa guérison.

Qu’il appelle les anciens.

Mais que le chrétien reconnaisse en premier lieu ses fautes et prenne la résolution de devenir sage et sobre en toutes choses.

e) Si la maladie est d’origine corrective de la part du Seigneur et que le chrétien n’a pu obtenir sa guérison.

Qu’il appelle les anciens…

Mais avant la prière et l’onction d’huile, il doit y avoir entre le chrétien et les anciens un entretien spirituel.

Le chrétien doit alors comme il est écrit, confesser en premier lieu au serviteur de Dieu l’origine de sa maladie, son ou ses péchés qui ont entrainé la sanction divine, confesser ensemble le ou les péchés au Seigneur Jésus (Lire le verset : 16). Prendre s’il y a lieu l’engagement de réparations. S’engager à marcher de nouveau dans les voies du Seigneur.

Dans ce cas de confession et de repentance sincère les anciens doivent aider le chrétien, prier avec lui et pour lui.

Pour implorer et obtenir le pardon de Dieu (car à tout péché confessé dans la repentance, il y a miséricorde de la part du Seigneur.)

Ensuite prier avec le chrétien et l’oindre d’huile pour sa guérison. Le Seigneur relèvera le malade.

Je pense et je crois pour ce dernier cas de maladie, qu’il faut au chrétien malade un climat de confiance à l’égard de son serviteur et pour le serviteur de Dieu une grande compréhension et de garder le secret de la confession du malade.

Maintenant : Remarquons encore une fois l’impératif de la Parole de Dieu :

Qu’il appelle les anciens…

Il appartient donc au chrétien malade (à moins qu’il soit dans le coma) de demander l’onction d’huile. C’est lui seul qui doit prendre la décision de demander. Il ne doit pas attendre que le serviteur de Dieu le lui propose.

Enfin au verset : 16, un élément doit animer cet acte au caractère sacré.

Cet élément ? C’est la F O I

Foi : Premièrement chez le chrétien malade qui doit être pleinement convaincu qu’en demandant l’onction d’huile, il sera guéri.

La Parole de Dieu et le Saint-Esprit lui ont été donnés pour obtenir cette conviction.

Foi : Egalement chez les anciens qui ont été appelés à pratiquer le ministère de l’onction d’huile.

Foi : Du malade et des anciens pour le pardon et la guérison lorsque la maladie est d’origine corrective.

La prière de la foi sauvera le malade (verset : 15)

Le Seigneur Jésus agit en nous, à travers nous, avec nous selon l’étendue de notre foi.

« Qu’il te soit fait selon ta foi » a dit le Seigneur Jésus

NOTA : En raison du caractère sacré de l’onction d’huile, il appartient au chrétien malade de bien se préparer spirituellement avant de demander et de recevoir l’onction d’huile. Il serait même bon d’avoir auparavant un entretien avec son conducteur spirituel.

Ce qu’il ne faudrait jamais faire, c’est aller se faire oindre d’huile sans préparation, ou parce qu’un frère ou une sœur y va lors d’une réunion. On voit malheureusement trop souvent cela dans des assemblées.

L’onction d’huile peut être pratiquée plusieurs fois dans la vie d’un chrétien. Toutes les fois qu’il en ressent la nécessité et qu’il est lui-même convaincu qu’il sera guéri par ce moyen divin.

Puisse cet enseignement sur l’onction d’huile nous aider et nous communiquer la foi pour la guérison de nos maladies.

NOTA : L’onction d’huile étant réservée aux membres du peuple de Dieu, car il est bien dit « Quelqu’un parmi vous est-il malade ». L’onction d’huile ne devrait pas être pratiquée aux inconvertis.

Quelques passages concernant la guérison divine :

ANCIEN TESTAMENT

Genèse : 20 / 17 ; Exode : 15 / 26 ; Exode : 23 / 24 - 26 ; Nombres : 12 / 13 ; Deutéronome : 32 / 39 ; 1 Samuel : 6 / 3 ; 2 Rois : 5 / 6 et 14 ; 2 Rois : 20 / 5 ; 2 Chroniques : 7 / 14 ; Job : 5 / 18 ; Job : 42 / 10 ; Psaume : 30 / 2 et 4 ; Psaume : 41 / 5 ; Psaume : 103 / 3 ; Psaume : 107 / 20 ; Psaume : 147 / 3 ; Esaïe : 30 / 26 ; Esaïe : 53 / 5 ; Esaïe : 57 / 18 et 19 ; Esaïe : 61 / 1 ; Jérémie : 17 / 14 ; Jérémie : 30 / 17 ; Jérémie : 33 / 6 ; Ezéchiel : 34 / 16 ; Osée : 6 / 1 ; Osée : 11 / 3 ; Malachie : 4 / 2

NOUVEAU TESTAMENT

Évangile de Matthieu : Matthieu : 4 / 23 et 24 ; Matthieu : 8 / 7 , 13, 16 et 17 ; Matthieu : 9 / 22 et 35 ; Matthieu : 12 / 15 et 22 ; Matthieu : 14 / 14 et 36 ; Matthieu : 15 / 28 et 30 ; Matthieu : 17 / 18 ; Matthieu : 19 / 2 ; Matthieu : 21 / 14.

Évangile de Marc : Marc : 1 / 31 à 34 ; Marc : 2 / 11 ; Marc : 3 / 5 ; Marc : 5 / 29 à 34 ; Marc : 6 / 56 ; Marc : 7 / 37 ; Marc : 8 / 25 ; Marc : 10 / 52 et 53 ; Marc : 16 / 20.

Évangile de Luc : Luc : 4 / 18 et 19 ; Luc : 4 / 38 et 39 ; Luc : 4 / 40 ; Luc : 5 / 13 et 15 ; Luc : 6 / 10, 17 à 19 ; Luc : 7 / 10, 21 et 22 ; Luc : 8 / 36, 44 ; Luc : 9 / 11, 42 et 43 ; Luc : 13 / 12 à 14, 32 ; Luc : 14 / 4 ; Luc : 17 / 14 à 17 ; Luc : 22 / 51.

Évangile de Jean : Jean : 4 / 47, 53 ; Jean : 5 / 8 à 15 ; Jean : 6 / 2 ; Jean : 7 / 23 ; Jean : 9 / 6 à 12.

Actes des Apôtres : Actes : 3 / 6 ; Actes : 4 / 10,14, 22 ; Actes : 5 / 12 et 16 ; Actes : 8 / 5 à 8 ; Actes : 9 / 17, 18, 34 ; Actes : 10  / 38 ; Actes : 14 / 9 et 10 ; Actes : 16 / 10 ; Actes : 19 / 11 ; Actes : 28 / 8.

Épître aux Hébreux : 11 / 34

Épître de Jacques : 5 / 15

1ère Épître de Pierre : 2 / 24

 
 



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