Les Dix Commandements
Par Mr le Pasteur Michel Maréchal

LES DIX COMMANDEMENTS
 
Psaume : 19 / 8-12 :
 
« La loi de l’Eternel est parfaite, elle restaure l’âme ;
   Le témoignage de l’Eternel est véritable, il rend sage l’ignorant.
   Les ordonnances de l’Eternel sont droites, elles réjouissent le cœur ;
   Les commandements de l’Eternel sont purs, ils éclairent les yeux.
   La crainte de l’Eternel est pure, elle subsiste à toujours ;
   Les jugements de l’Eternel sont vrais, ils sont tous justes.
   Ils sont plus précieux que l’or, que beaucoup d’or fin ;
   Ils sont plus doux que le miel, que celui qui coule des rayons.
   Ton serviteur aussi en reçoit instruction ;
   Pour qui les observe, la récompense est grande. »
 
Matthieu : 5 / 17-18 :
 
«  Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu, non pour  abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé. »
 
Introduction :
 
Lire : Exode : 20 / 1-17 :
 

Ce fut un moment terrifiant dans l’histoire du monde. Moïse avait conduit les Israélites hors d’Egypte, à travers la Mer Rouge et jusqu’au pied du Mont Sinaï. Là, du milieu du feu, des tremblements de terre, du tonnerre, des éclairs et de la fumée, Dieu appela Moïse sur le sommet de la montagne. Et c’est sur cette terre sainte qu’il lui donna les tables de pierre sur lesquelles il avait écrit les Dix commandements. Ceux-ci devinrent la Loi du peuple d’Israël.
 
Dans les Dix commandements ou Décalogue, Dieu a défini le code moral de son univers. Il a établi la direction vers laquelle notre vie doit tendre si nous voulons réussir pleinement. Pratiquement toute la loi importante de nos jours repose d’une façon ou d’une autre sur l’un des Dix commandements. Les commandements mettent non seulement la sainteté et la justice de Dieu au premier plan, mais aussi ses exigences et ses demandes.
 
Or, lorsque Dieu donna les Dix commandements, il savait déjà que personne ne pourrait les suivre. Si nous ne pouvons pas observer les Dix commandements, alors pourquoi Dieu nous les a-t-il donnés ? La Bible nous dit que c’est pour nous servir de miroir. La loi est un miroir (Jacques : 1 / 23 à 25). Lorsque je porte mon regard sur les Dix commandements, c’est ma propre personne que je vois. Ils me permettent de prendre conscience de la distance qui me sépare de ce que Dieu veut de moi. Dieu dit : « Telle est votre règle de vie, telle est la Loi ; telle est ma volonté. C’est ainsi que je veux que vous viviez, non seulement parce que je le demande, mais aussi pour votre propre bien »

Quand nous lisons les commandements et les comprenons à la lumière du Sermon sur la montagne (Matthieu : 5 à 7), nous nous rendons compte que nous ne sommes que des violateurs de la Loi.

 
La loi produit la connaissance (Romains : 3 / 20 ; Romains : 7 / 7) :
 

a) Connaissance du péché qui est transgression et rébellion, et par lequel le « but est manqué » signification originelle du mot « péché »
 
b) Connaissance de soi, le pécheur reconnaissant son péché et son impuissance, ainsi que sa situation de « perdu »
 
La Bible nous apprend que Dieu est un Dieu saint et juste, et qu’Il va juger le péché.
 
Le salaire du péché c’est la mort (Romains : 6 / 23).
 
L’âme qui pèche, c’est elle qui mourra (Ezéchiel : 18 / 4).
 
Une condamnation à la mort spirituelle pèse sur toute personne qui est en dehors du Christ.
 
La Bible dit aussi que les Dix commandements deviennent pour moi un pédagogue qui me conduit à la repentance (Galates : 3 / 24)
 
La loi devient un « surveillant, un tuteur ».
 
Dans la Grèce et la Rome anciennes, le « surveillant » était un esclave qui accompagnait le garçon à l’école, et restait près de lui pendant ses leçons.
 
Il n’avait ni à tenir son élève, ni à le punir, ni à l’instruire.
 
Il devait seulement rendre compte de sa mauvaise conduite.
 
Lorsque je me vois à la lumière du Saint Agneau de Dieu, lorsque je me vois à la lumière de Jésus-Christ qui fut une expression de cette loi, que puis-je faire ?
 
Quelle direction prendre ?
 
De nombreuses personnes raisonnent ainsi : « Je vais accumuler les bonnes œuvres durant mon existence, et si mes bonnes œuvres l’emportent sur mes mauvaises actions, j’irai au ciel. »
 
La Bible ne dit pas cela !
 
Elle nous dit : « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don gratuit de Dieu. Ce n’est point par les œuvres afin que personne ne se glorifie » (Éphésiens : 2 / 8 à 9)
 
« Personne ne  sera sauvé par la loi » (Galates : 3 / 11).
 
Vous pouvez pratiquer de bonnes œuvres pendant votre vie, mais ce n’est pas cela qui sauvera votre âme !
 
Lorsque Jésus-Christ mourut sur la croix, il le fit pour une raison bien précise.
 
Il n’a pas été tué par hasard, c’est l’amour de Dieu qui débordait.
 
Dieu s’empara de nos péchés, de notre culpabilité et les rejeta sur Jésus-Christ.
 
Il mourut à notre place.
 
Il répandit son sang pour notre rédemption.
 
 A moins d’être allé au pied de la croix, nous repentir de nos péchés et recevoir le Sauveur, il n’existe aucun moyen pour nous de gagner notre admission dans le royaume de Dieu.
 
Les Dix commandements nous rappellent que nous avons un ennemi aussi bien en nous qu’autour de nous.
 
Nous avons l’ordre de ne pas faire certaine chose parce que Dieu sait que, même si nous ne les faisons pas, nous sommes inclinés à les faire.
 
Jésus nous a appris que la haine sans raison est un meurtre, que la pensée de convoitise est aussi mauvaise que l’adultère lui-même.
 
La loi s’applique non seulement à notre vie extérieure mais à notre vie intérieure, et nous avons besoin de discipline.
 
Seul Jésus-Christ a observé les commandements, il a été tenté en tous points, mais n’a jamais commis de péché.
 
La loi morale a-t-elle toujours de la valeur ?
 
Oui, mille fois oui.
 
Les commandements représentent la perfection de Dieu.
 
Dieu ne change jamais ; sa loi est absolue, et c’est par elle qu’il nous jugera.
 
Notre seul espoir est en Jésus-Christ. Par lui, nos péchés sont pardonnés.
 
Si vous avez enfreint la loi de Dieu, demandez au Christ de vous pardonner.

 
Recevez-le comme votre Maître, votre Seigneur et votre Sauveur.
 
I – AMOUR ET OBEISSANCE :
 

La crainte de Dieu peut-être renouvelée en nous par l’étude de ces commandements.
 
Certains chrétiens pensent que la LOI est opposée à la GRACE.
 
De ce fait, ils cherchent à y échapper parce qu’ils se sentent condamnés.
 
Il est vrai que nous ne sommes plus sous la loi pour la justification ; mais nous sommes et seront toujours, sous la loi morale de Dieu.
 
Les Dix commandements sont aussi valables pour nous, puisque le Nouveau Testament les contient et ils sont la base du contenu moral de l’enseignement de Jésus et des apôtres : (Matthieu : 5 / 17-18 ; Romains : 3 / 31 ; Romains : 13 / 8-10)
 
La loi se résume en deux mots : aimer et obéir. Ce sont les marques de notre attachement à la loi divine. Notre amour reconnaissant est le mobile de notre obéissance (1 Jean : 4 / 19)

 
A - L’AMOUR :
 
Qu’est-ce que l’Amour ?
 
C’est un feu sacré qui demeure dans nos affections et qui nous fait  rechercher Dieu comme notre bien suprême.
 
La nature de cet amour consiste à faire du Seigneur nos délices (Psaume : 37 / 4)
 
L’amour est l’âme des Dix commandements.
 
Si notre amour est sincère, nous aimerons Dieu de tout notre cœur.
 
Nous ne partagerons pas notre amour pour Lui avec le péché, car Dieu n’accepte pas un cœur partagé.
 
Nous devons aimer Dieu pour Lui-Même.
 
L’hypocrisie aime Dieu pour sa bénédiction ; le vrai fidèle aime Dieu pour Lui-Même.
 
Nous devons aimer Dieu de toutes nos forces.
 
Le texte hébreu signifie : « avec véhémence »
 
Nous devons brûler d’amour pour Dieu.
 
Nous ne l’aimerons jamais assez.
 

a) Si nous aimons Dieu, notre désir se portera toujours vers Lui. (Esaïe : 26 / 8-9).    « Mon âme a soif du Dieu vivant » (Psaume : 42 / 2)
 
b) Un amour vrai pour Dieu se manifeste par la joie que nous ne trouvons qu’en Lui. Nous pouvons vivre sans fortune, sans confort, sans ami, mais pas sans Dieu.
 
c) Celui qui aime Dieu hait tout ce qui tend à le séparer de Lui. Il hait le péché qui lui cache la face de Dieu ; il hait les voies du mensonge (Psaume : 119 / 127-128)

 
Le Seigneur nous pose cette question : « M’aimes-tu »
 
B - L’OBEISSANCE :
 

a) La bonne volonté rend notre obéissance agréable à Dieu. (Esaïe : 1 / 19) « Si vous avez de la bonne volonté et si vous êtes dociles… » Dieu demande des sacrifices volontaires.
 
b) Notre obéissance à la loi de Dieu doit être totale (Psaume : 119 / 4). Certaines personnes obéissent aux choses faciles, mais délaissent celles qui les gênent. Hérode voulait bien écouter Jean-Baptiste, mais il ne voulait pas abandonner son péché. Jacques dit que celui qui transgresse un seul commandement se rend coupable envers tous les autres.
 
c) Notre obéissance doit avoir pour mobile la gloire de Dieu (1 Corinthiens : 10 / 31)
 
d) Notre obéissance doit être constante. Il y a des gens qui obéissent pour un temps ; d’autres de temps en temps. Mais les vrais enfants de Dieu obéissent en tout temps. Même au temps de l’épreuve, le juste demeure ferme (Job : 17 / 9). Quand un apprenti signe un contrat, il doit en respecter les clauses ! Ne rompons donc pas l’alliance avec Jésus ; lui fut obéissant  jusqu’à la mort de la croix (Philippiens : 2 / 8 ; Apocalypse : 2 / 26).
 
Nous avons tout à gagner à être obéissants (Deutéronome : 28 / 1-2). L’obéissance    est requise pour notre bien et en vue de notre bonheur (Deutéronome : 10 / 12-13).

 
CONCLUONS :
 
Le Saint-Esprit nous rend l’obéissance facile et joyeuse. Elle n’est plus pénible (1 Jean : 5 / 3)
 
II -  PROLOGUE DES DIX COMMANDEMENTS :
 
Exode : 20 / 2 : « Je suis l’Eternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Egypte, de la maison de servitude »
 

Avant d’exiger notre obéissance à ses commandements, Dieu nous rappelle qu’Il est notre Dieu et que nous sommes son peuple.

 
Il nous rappelle également, comme il le fit pour Israël, qu’Il nous a délivrés de notre ancienne vie.
 
L’Egypte est l’image du monde.
 
Notre conversion nous a mis à part.
 
Comme les Israélites durent traverser la Mer Rouge, ainsi nous avons été baptisés.

« La maison de servitude » nous parle de nos souffrances, du péché dont nous étions esclaves.
 

Nous ne pouvions pas recevoir la bénédiction de Dieu, mais par un acte de sa toute puissance, Il nous a sauvés, non à cause des œuvres que nous aurions faites, mais par grâce.

 
Heureux l’homme qui, avant d’obéir aux lois divines, entend Dieu lui dire :
 
« Je suis ton Dieu, tu es mon enfant, c’est moi qui t’ai sauvé »
 
« Je t’ai fait sortir de la maison de servitude ».
 
Ces commandements nous parlent de la liberté.
 

Si nous vivons en les observant, nous sommes libres de tout ce qui détruit l’esprit humain : la drogue, le crime, la guerre, la dépravation sexuelle, la paresse, le racisme, la pauvreté, la pollution, et tout le reste.

 
A maintes reprises dans l’Ancien Testament Dieu rappelle cette délivrance miraculeuse.
 
L’Egypte était un pays d’idolâtrie fut un piège permanent pour le peuple d’Israël.
 
Ce péché fut puni sévèrement par le Seigneur.
 
La déportation à Babylone fut une de ses conséquences.
 
C’était donc une grande grâce et une délivrance merveilleuse que l’éloignement du pays d’Egypte.
 
Dieu nous a délivrés de l’idolâtrie.
 
L’idôle n’est pas seulement cette forme en bois ou en pierre suspendue à nos murs.
 

Il y a celle qui prend place dans notre cœur : une créature, l’argent, le plaisir, en un mot, tout ce qui prend dans une vie la place de Dieu.

 
Maintenant l’Eternel est notre Dieu. Alléluia !
 

Lisez les textes suivants et vous verrez à quel point l’idolâtrie provoque la colère de Dieu : (Psaume : 16 / 4 ; Psaume : 78 / 58 ; Exode : 32 / 27)
 
« Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point part a ses fléaux » (Apocalypse : 18 / 4)

 
L’idolâtrie prive l’être humain du royaume de Dieu (1 Corinthiens : 6 / 10)
 
« Fuyez l’idolâtrie » (1 Corinthiens : 10 / 14)
 
N.B. pour une bonne compréhension de l’étude, lire dans la Bible les versets cités ci-après.
 
1er COMMANDEMENT :
 
Exode : 20 / 3 :
 
« Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. » Psaume : 81 / 10.
 
Le 1er commandement défend l’idolâtrie, la vénération ou l’adoration d’un autre être, à côté ou à la place de Dieu.
 
Tout ce qui occupe notre temps, nos pensées, nos efforts plus que Dieu lui-même devient notre dieu.
 
Que comprend cette interdiction ?
 

a) Magie, divination, chiromancie : (Lévitique : 19 / 31 ;  Deutéronome : 18  / 9 et 14)
 
b) Relation avec les morts : (Lévitique : 20 / 6)
 
c) Invocation des anges et des saints. (Colossiens : 2 / 18 ; Apocalypse : 22 / 8-9 ; Actes : 14 / 11 et 18)
 

d) Toutes sortes d’idolâtrie. Etre idolâtre, c’est attacher son cœur à autre chose qu’à Dieu : (1 Jean : 5 / 21 ; Apocalypse : 21 / 8 ; Romains : 1 / 25)

 
Les idôles ne sont d’aucun secours à ceux qui les suivent et le cœur reste vide. (Jérémie : 2 / 27-28)

 
Qu’est-ce qui peut devenir une idôle ?
 

a) Mammon, l’argent, les biens : (Matthieu : 6 / 24)
 
b) Le ventre, l’avidité des jouissances du corps : (Philippiens : 3 / 18 à 19)
 
c) Le corps, la mode, les soins du corps d’après la manière du monde : (1 Timothée : 2 / 9 à 10 ; 1 Timothée : 4 / 8 ; 1 Pierre : 3 / 1-4)
 
d) Plaisirs mondains de toutes sortes (cinéma, radio, télé, auto, sport, café, bal, etc …) : (1 Jean : 2 /. 15-17 ; Psaume : 1 / 1)
 
e) La nature et la créature : (Romains : 1 / 21-23 ; Jérémie : 17 / 5)
 
f) Les passions, mauvaises habitudes, vices : (Romains : 6 / 16-17 ; 2 Timothée : 2 / 22)
 
g) Nous garder de tout ce qui nous empêche de vivre notre vocation divine : (Romains : 12 / 1-2)

 
Que réclame le 1er commandement ?
 
Craindre Dieu seul, lui être soumis et lui faire confiance : (Jacques : 4 / 7 ; 1 Pierre : 5 / 6 ; Jérémie : 17 / 7-8)
 
Daniel et ses amis sont notre modèle : (Daniel : 3 / 13-18 ; Daniel : 6 / 11-27)
 
Avoir Dieu pour Dieu :
 

- C’est l’avoir trouvé et reconnu comme seul vrai Dieu : (1 Rois : 18 / 39)
 
- C’est l’avoir choisi et accepté : (Josué : 24 / 15)
 
- C’est l’avoir constamment sous nos yeux : (Psaume : 16 / 8)
 
- C’est trembler et ne pas pécher : (Psaume : 4 / 4-5 ; Genèse : 39 / 9)
 
- C’est croire en Lui : (Psaume : 62 / 8)
 
- C’est l’aimer : (Deutéronome : 6 / 4-5)

 
2ème COMMANDEMENT :
 
Exode : 20 / 4-6 :
 
« Tu ne te feras point d’image taillées, ni de représentation quelconque … Tu ne te prosterneras point devant elles … »
 

Le 1er commandement montre la personne à adorer, le second montre le mode d’adoration.
 
Il interdit le culte des images, la production d’une image de Dieu et son adoration, comme si Dieu y habitait. (Lévitique : 26 / 1 ; Deutéronome : 4 / 15-19 ; Esaïe : 44 / 9-20)

Nous devons adorer sincèrement, intérieurement avec notre cœur.
 
Quand nous sommes assis dans une église, très pieux, mais ignorant la personne de Dieu, le système ecclésiastique et le bâtiment même deviennent des idoles.

 
Que comprend ce commandement ?
 

a) L’interdiction de représentations imaginaires de Dieu, qui déforment sa sainte image. (Actes : 17 / 23-29 ; Psaume : 50 / 21)
 
Dieu se réserve à lui seul le droit d’énoncer et de produire les images de lui-même que les hommes doivent adorer, et au travers desquelles nous devons le saisir.
 
Beaucoup de gens ont des images intellectuelles de Dieu, ce qui est contraire à la Bible. D’autres font allusion au « bonhomme d’en-haut » ou au « pilote du ciel »
 
Nous n’avons pas à choisir, à faire le tri de nos propres symboles de la notion de Dieu.
 
b) L’invention et la propagation de doctrines erronées de Dieu et de Jésus-Christ. (Matthieu : 24 / 4-5 ; Matthieu : 23 / 24 ; 2 Pierre : 2 / 1-3)

 
Que réclame le 2ème commandement ?
 

a) Adorer Dieu est esprit et en vérité : (Jean : 4 / 24)
 
b) Soupirer à le voir un jour tel qu’il est : (1 Jean : 3 / 2)
 
c) Faire disparaître, se séparer de tout prétendu objet de piété, sans céder à la crainte superstitieuse : statues, images, médailles, chapelets, crucifix scapulaires, reliques, eau bénite, rameaux bénis, etc… : (2 Rois : 18 / 4 ; Esaïe : 30 / 22)

 
Qui est l’image de Dieu ?
 
Jésus est la véritable image du Dieu invisible, que Dieu nous a donné lui-même :
(Colossiens : 1 / 15 ; Jean : 1 / 14 ; Jean : 14 / 8-10)

 
 



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