Méditations
Par Mr le Pasteur Daniel Montbuleau



AVEC JESUS …

« Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi. »
(Jean : 15 / 4)


Avec Jésus on peut :

Etre dans la joie, malgré les difficultés !

Etre dans la paix, au milieu des problèmes !

Etre consolé, de tous ses chagrins !

Etre fort, lorsqu’on accepte sa propre faiblesse !

Etre riche de son amour, même si on n’est pas riche quant à la terre !

Etre aimé, même si les autres nous rejettent !

Etre gardé du danger, même si cela nous semble impossible !

Jésus Christ nous offre bien des bénédictions, si nous voulons rester près de lui.

En Lui nous avons tout ce dont nous avons besoin, et plus encore !

Nous avons tout pleinement en Lui.

(Colossiens : 2 / 10)





ATTENDRE, SE METTRE EN MARCHE ET S'ARRÊTER ... AUX BONS MOMENTS !
 
Être dans le bon temps dans la vie chrétienne est toujours difficile. 

Quand faut-il attendre patiemment et dans la confiance le secours de l'Éternel ? (Lamentations : 3 / 16)

Quand faut-il passer à l'action, se lever à l'invitation de notre Seigneur et travailler pour sa gloire ? (Aggée : 2 / 4)

Pour beaucoup d'entre nous, nous avons déjà eu ces plus ou moins douloureuses expériences où nous ne nous sommes pas arrêtés quand il l'aurait fallu et où nous sommes restés sans réagir quand cela était nécessaire.

Parfois, c'est justement à la suite de tels souvenirs que nous ne savons plus quoi faire de peur de se tromper à nouveau.

Cela serait si facile, pourrions-nous nous dire s'il y avait, comme autrefois pour le peuple d'Israël dans le désert, la colonne de nuée le jour et la colonne de feu la nuit pour nous guider et nous assurer que nous sommes dans le vrai (Nombres : 10 / 11, 33-36), où encore un grand serviteur de Dieu qui nous donnerait les indications à suivre et les ordres de marche.

Est-ce pour autant que le peuple n'a pas fait les mêmes erreurs que nous ? 

Quand l'Éternel leur a demandé de monter dans le pays promis pour en prendre possession, ils ont refusé pour ensuite se décider à y aller, mais, à ce moment, contre la volonté divine (Nombres : 13 et 14)

Ce fut le fiasco avec cette leçon que l'obéissance est aussi une question de temps de réaction.

Aujourd'hui, nous avons plus qu'une colonne de nuée ou de feu, plus qu'un Moïse, si utile a-t-il été au peuple.

Nous avons l'Esprit de Dieu en nous pour que nous discernions les moments propices pour attendre et agir, et notre Seigneur Jésus comme chef de file pour donner la direction.

Dans l'Évangile selon Jean, au chapitre dix, notre Sauveur est comparé au bon berger qui va devant ses brebis.

Ses brebis le suivent à l'écoute de sa voix. 

Il n'est pas question qu'elles le précèdent, ce que nous faisons parfois en prenant les devants dans telle ou telle situation.

Il n'est pas non plus question d'être à la traîne, de laisser une trop grande distance qui estomperait sa voix et la rendrait moins audible.

Fixons donc les yeux de la foi sur Jésus (Hébreux : 12 / 1-3) pour démarrer, accélérer, faire une pause, redémarrer et ainsi de suite ... aux bons moments !



ATTENDRE SANS COURIR

« Mon âme se repose en Dieu seul; c'est de lui que vient mon salut »
(Psaumes : 62 / 1)
 
Attitude bénie ! Attendre patiemment et en comptant uniquement sur lui. Que ce soit notre position dans cette journée, et chaque jour.

L'attendre pendant notre temps de loisir et notre temps de service, l'attendre dans la prière et dans la joie.

Cette attente, quand elle part du fond même de l'âme, est l'attitude vraie et sûre de la créature devant son Créateur, du serviteur devant son Maître, de l'enfant devant son Père.

Nous ne nous permettrons pas de rien dicter à notre Dieu, ni de nous plaindre de lui. Nous n'admettrons ni impertinence, ni défiance à son égard.

Nous n'oserons pas aller plus vite que lui, ni chercher le secours des autres; ce n'est pas là s'attendre à Dieu. Dieu et Dieu seul est l'attente de nos cœurs.

Assurance bénie ! C'est de lui que vient la délivrance, et de lui seul. Il en aura toute la gloire, car lui seul peut l'opérer.

Il nous délivrera du doute, de la souffrance, de la calomnie, de la détresse.

Lors même que nous ne verrions encore aucun signe de cette délivrance, il nous suffit d'attendre la volonté de Dieu, car nous n'avons aucun doute sur son amour et sa fidélité.

Son œuvre sera sûre et ne se fera pas attendre, et nous le louerons pour sa miséricorde.



AIME ET RECHERCHE LA VRAIE SAGESSE

« J'aime ceux qui m'aiment; et ceux qui me cherchent me trouvent »
(Proverbes : 8 / 17)
 
La sagesse aime ceux qui l'aiment et cherche ceux qui la cherchent. Il est déjà sage celui qui désire l'être, et il a presque trouvé la sagesse, celui qui la cherche avec soin.

Ce qui est vrai pour la sagesse en général, l'est tout spécialement pour la sagesse incarnée en Jésus.

C'est lui que nous devons aimer et chercher et, en retour, nous jouirons de son amour et le trouverons lui-même de bonne heure dans la vie et de bonne heure dans la journée.

Heureux les jeunes dont les heures matinales se passent avec Jésus. On ne peut le chercher trop tôt; en faisant ainsi, on le trouvera certainement.

Les commerçants dont les affaires réussissent se lèvent le matin, et les saints dont l'âme prospère sont ceux qui cherchent Christ avec zèle.

Ceux qui ont trouvé en Jésus leur richesse sont ceux qui ont mis leur coeur à le chercher. Cherchons-le donc premièrement, c'est-à-dire de bonne heure. Avant tout Jésus; Jésus le premier et Jésus le dernier, et rien de fâcheux n'adviendra ensuite.

Quand nous l'aurons trouvé, il se révèlera de plus en plus clairement, et se donnera plus complètement à nous.

Heureux l'homme qui cherche Celui qui, une fois trouvé, demeure à toujours avec lui et sera pour son cœur et son esprit un trésor de plus en plus précieux.
Seigneur Jésus, je t'ai trouvé; deviens ma joie et ma satisfaction suprêmes.




AFFRANCHISSEMENT COMPLET

« Mais je te délivrerai en ce jour-là, dit l'Éternel, et tu ne seras pas livré entre les mains des hommes que tu crains » 
(Jérémie : 39 / 17)
 
Quand les fidèles de l'Eternel ont à souffrir pour lui, ils reçoivent de précieux messages de son amour, et parfois ils ont même d'heureuses nouvelles à porter à ceux qui sympathisent avec eux et les aident.

Hebed-Melech était un Ethiopien méprisé, mais il avait eu de la bonté pour Jérémie, c'est pourquoi le Seigneur lui envoya une promesse spéciale par la bouche de son prophète.

Souvenons-nous des serviteurs de Dieu persécutés, et nous en serons récompensés.

Hebed-Melech devait être délivré de la main de ceux dont il craignait la vengeance. Il était un pauvre noir, mais l'Eternel prit soin de lui. Des milliers étaient frappés par les Chaldéens, mais cet humble nègre ne pouvait être atteint.

Nous aussi, nous pouvons craindre quelque personne considérable qui nous en veut, mais si, à l'heure de la persécution, nous avons été fidèles à la cause du Seigneur, lui aussi nous sera fidèle.

Du reste, que peut faire un homme sans la permission de Dieu ? Il pourra se mordre les lèvres de rage et grincer des dents de dépit, mais ne nous touchera pas.

Craignons le Seigneur et nous n'aurons rien d'autre à craindre. Pas un verre d'eau fraîche donné à un prophète de Dieu méprisé ne perdra sa récompense, et si nous nous levons pour Jésus, Jésus se lèvera pour nous




CE QUE DESIRENT LES JUSTES LEUR SERA ACCORDE

« Ce que le méchant craint, lui arrivera; mais Dieu accordera aux justes ce qu'ils désirent. »
(Proverbes : 10 / 24)

 
Parce que ce désir est un désir juste, Dieu peut l'accorder en sécurité. Une telle promesse faite aux méchants ne serait bonne ni pour l'homme en particulier, ni pour la société en général. Gardons les commandements de Dieu, et il aura à juste titre égard à nos désirs.

S'il arrivait aux justes de souhaiter des choses injustes, elles ne leur seraient pas accordées. Mais telles ne sont pas leurs aspirations réelles; ce sont là pour eux des erreurs ou des égarements, et ils sont heureux de se les voir refuser.

Leurs désirs légitimes parviendront au Seigneur qui ne les repoussera point. L’Eternel semble-t-il écarter momentanément nos requêtes, laissons-nous encourager par notre promesse de ce jour à demander encore, car notre désir est qu'il nous refuse ce qu'il nous juge nous être nuisible.

Mais il est des choses que nous pouvons demander hardiment. Ce que nous recherchons avant tout, c'est d'être saints et consacrés, d'être conformes à Christ et prêts pour le ciel. Ce sont là les désirs de la grâce plus que ceux de la nature, de l'homme justifié plutôt que de l'homme naturel.

Dans ces choses, non seulement Dieu ne mettra aucune restriction à nos ambitions, mais sa libéralité dépassera abondamment notre espérance. "Fais de l'Eternel tes délices et il t'accordera les désirs de ton cœur !" Demande donc hardiment et ne crains pas




CE NE SERA PAS LONG

« Vous aussi, attendez patiemment, affermissez vos cœurs, car l'avènement du Seigneur est proche »
(Jacques : 5 / 8)

 
Parmi les dernières paroles de l'Apocalypse, nous lisons : "L'Esprit et l'Epouse disent : Viens !" A quoi l'Epoux divin répond : "Voici, je viens bientôt."

Notre amour soupire pour la glorieuse apparition du Seigneur, et se réjouit de cette douce promesse : "L'avènement du Seigneur est proche."

Elle fixe notre esprit sur cet avenir glorieux; elle est comme une fenêtre par laquelle nous jetons un regard d'espérance.

Cette céleste "fenêtre d'agate" laisse pénétrer sur le présent un flot de lumière qui vient améliorer pour nous les conditions de travail et de la souffrance.

Pendant les jours d'épreuve, le sentiment de l'approche de ce jour de joie, nous murmure "patience."

Sommes-nous attristés de ne pas voir le résultat de notre travail ? Ce glorieux avertissement nous crie encore : "Sois patient."

Quand nous sommes tourmentés par nos nombreuses tentations, alors l'assurance qu'avant peu le Seigneur sera de retour nous prêche ce texte : "Affermissez vos cœurs."

Soyons donc tranquilles, "demeurons fermes et inébranlables, abondant toujours dans l'œuvre du Seigneur."

Bientôt nous entendrons les trompettes d'argent nous annonçant le retour de notre Roi glorieux.

N'en soyons point effrayés, mais tenons ferme, car le voici sur les nuées du ciel. Aujourd'hui même il peut apparaître.



BRISE ET FUMANT ENCORE

« Il ne brisera pas le roseau cassé, et n'éteindra pas le lumignon qui fume encore; il manifestera la justice avec vérité »
(Esaïe : 42 / 3)

 
Je peux compter que mon Dieu ne me traitera qu'avec douceur. Je suis, il est vrai, faible, fléchissant et sans valeur, comme un roseau.

On dit de moi : "Je m'en soucie autant que d'un fétu;" et ce propos, quoique peu bienveillant, n'est pas déplacé.

Hélas, je me sens plus chétif qu'un roseau poussant sur la rivière, car celui-ci lève encore la tête. Je suis abattu; durement, cruellement brisé.

Il n'y a plus de musique en moi, car je suis fendu et le son s'échappe, hélas ! Mais Jésus ne me brisera pas entièrement; et si lui ne le fait pas, peu m'importe ce que feront les autres.

O Sauveur doux et compatissant, je m'abrite derrière toi, et là j'oublie mes meurtrissures.

En réalité, on peut bien me comparer aussi à un lumignon fumant dont la flamme est éteinte et dont la fumée seule subsiste. Je suis plutôt une incommodité qu'un avantage.

Les suggestions de mon esprit troublé me murmurent que le diable a soufflé ma lumière et que le Seigneur ne tardera pas à arrêter, en la couvrant d'un éteignoir, la fumée qui s'en échappe encore.

Cependant je remarque que s'il y avait des mouchettes au chandelier sacré, il ne portait pas d'éteignoir.

Jésus ne m'étouffera donc pas, et je peux reprendre courage. Seigneur, ranime à nouveau ma flamme, et fais-la briller à ta gloire et à la louange de ta tendresse et de ta bonté !




BENEDICTIONS SUR LA MAISON

« Il bénit la demeure des justes » (Proverbes : 3 / 33)
 
Le juste craint l'Eternel, c'est pourquoi il est placé sous la protection divine qui s'étend jusqu'au toit qui abrite sa famille.

Sa demeure est une habitation de l'amour, une école de sainte éducation, un foyer de lumière céleste; c'est un autel où le nom de l'Eternel est invoqué chaque jour.

C'est pourquoi le Seigneur bénit cette maison. Ce peut être une humble chaumière ou un château princier; la bénédiction du Seigneur l'entoure, non en raison de sa grandeur, mais à cause du caractère de ceux qui l'habitent.

Cette demeure est surtout bénie quand le chef de famille et sa compagne ont tous deux la crainte de Dieu; mais un fils ou une fille, ou même un serviteur chrétien, peut attirer la bénédiction d'en haut sur la maison entière.

C'est ainsi que, pour l'amour d'un ou deux qui, par sa grâce, sont justes à ses yeux, l'Eternel veillera sur toute une famille pour la protéger.

Bien-aimés, puisse Jésus être notre hôte constant et aimer à nous comme autrefois la famille de Béthanie, et nous serons sûrement bénis.

Mais ayons soin d'être justes en toutes choses, dans notre commerce, dans nos jugements à l'égard des autres et dans nos rapports avec nos voisins et ceux de notre propre maison, comme aussi dans notre caractère personnel.

Un Dieu juste ne peut bénir des transactions injustes



BENEDICTIONS A LA MAISON ETENDUES

« L'Éternel te bénira de Sion, et tu verras le bien de Jérusalem tous les jours de ta vie. »
(Psaume : 128 / 5)

Cette promesse est pour celui qui craint Dieu et marche avec sérieux dans le chemin de la sainteté.

Il aura la bénédiction domestique; sa femme et ses enfants seront pour lui une source de grand bonheur intérieur.

Mais, comme membre de l'Eglise, il désire la voir prospérer, car il met autant d'intérêt à la cause du Seigneur qu'à la sienne propre.

Quand Dieu affermi notre maison il n'est que juste que nous désirions voir sa maison s'édifier. Nos biens ne sont des biens que s'ils servent à accroître le bien de l'Eglise.

Oui, vous serez bénis quand vous monterez à l'assemblée de Sion; vous serez instruits, vivifiés, enrichis, quand vos louanges et vos prières s'élèveront, et que le témoignage sera rendu au grand sacrifice.

Alors "l'Eternel te bénira de Sion."

Vous ne serez pas seuls à en bénéficier; l'Eglise elle-même en profitera; les croyants se multiplieront et leur travail sacré sera couronné de succès.

Plusieurs des bien-aimés de Dieu voient cette promesse s'accomplir pour eux durant leur vie entière.

Hélas, souvent après leur mort, le zèle commence à fléchir. Soyons de ceux qui apportent des biens à Jérusalem tous les jours. Par ta grâce Seigneur, rends-nous capables. Amen



AVOIR CONFIANCE ET AGIR ; AGIR ET AVOIR CONFIANCE

« Confie-toi en l'Éternel, et fais le bien; habite la terre, et fais de la vérité ta pâture »
(Psaumes : 37 / 3)

 
Croire et faire sont deux choses qui vont ensemble, et dans l'ordre où le Saint-Esprit les a placées. Nous devons d'abord avoir la foi, et la foi doit agir. La foi en Dieu nous conduit à des actions saintes; nous nous confions en Dieu pour le bien, et nous faisons ce qui est bien.

Notre foi nous pousse à non à nous asseoir paresseusement, mais à nous lever pour agir, dans l'attente que Dieu travaillera en nous et par nous. Il ne nous appartient point "de nous irriter pour faire mal," mais nous devons nous confier en Dieu et "faire ce qui est bon." Ne nous contentons pas de croire sans agir, ni d'agir sans croire.

Les adversaires nous expulseraient, s'ils le pouvaient; mais, croyant et agissant, nous demeurerons malgré tout dans le pays. Nous resterons dans la terre d'Emmanuel, la providence de Dieu, le Canaan de l'alliance.

On ne se débarrassera pas de nous aussi aisément que le supposent nos ennemis. Ils ne peuvent nous arracher ni nous effacer du lieu où nous habitons, où Dieu nous a donné une place et un nom.

Là, aussi vrai que Dieu existe et a parlé, ne serons nourris. C'est notre affaire de nous confier et celle du Seigneur d'agir selon notre foi. Si nous ne sommes pas nourris par des corbeaux, par un Abdias ou une veuve, cependant nous serons nourris de quelque manière.



AVEC MOI OU QUE JE SOIS

« Ce ne sera point à vous de combattre en cette bataille; présentez-vous, tenez-vous là, et voyez la délivrance que l'Éternel va vous donner. Juda et Jérusalem, ne craignez point, et ne soyez point effrayés ! Demain, sortez au-devant d'eux, et l'Éternel sera avec vous »
(2 Chroniques : 20 / 17)

 
C'était là une grande grâce pour Josaphat, car une nombreuse multitude était sortie contre lui; et c'en sera une grande pour moi aussi, car j'ai de pressants besoins, et je n'ai ni force ni sagesse. Si le Seigneur est avec moi, peu importe qui me quitte.

Si le Seigneur est avec moi, je vaincrai dans le combat de la vie, et plus seront grandes mes épreuves, plus glorieuse sera la victoire. Mais suis-je assuré que l'Eternel est avec moi ?

Certainement il est avec moi, si je suis avec lui. Si j'ai confiance dans sa fidélité et foi dans sa Parole, et que j'obéisse à ses commandements, il sera sûrement avec moi.

Si je suis du côté de Satan, Dieu est contre moi, il ne peut en être autrement; mais si je vis pour honorer Dieu, je peux être sûr qu'il m'honorera aussi.

Je suis assuré que Dieu est avec moi, si Jésus est mon seul, unique Sauveur. Si j'ai confié mon âme aux mains du Fils unique de Dieu, alors je peux être certain que Dieu le Père déploiera toute sa puissance pour me préserver, de crainte que son Fils ne soit déshonoré.

Que la foi me soit donnée pour que je m'empare de la courte mais douce promesse de ce jour ! Seigneur, accomplis ta parole pour ton serviteur !

Sois avec moi dans la maison, dans la rue, dans les champs, dans la boutique, que je sois en compagnie ou que je sois seul. Et sois aussi, Seigneur, avec ton peuple tout entier ! Amen !

 
 
 
 



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