COMMUNION ININTERROMPUE « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. »
(Jean : 15 / 7) Il faut nécessairement être en Christ pour vivre pour lui, et nous devons demeurer en lui pour pouvoir nous réclamer de cette promesse.
Demeurer en Jésus, c'est ne jamais le quitter pour une autre affection ou un autre objet, c'est rester avec lui dans une union vivante, intime, consciente et volontaire.
La branche n'est pas seulement près du tronc, mais reçoit de lui sa vie et sa fertilité.
Tout vrai croyant demeure, à vrai dire, en Christ ; mais cette expression a un sens plus élevé auquel nous devons atteindre pour obtenir cette puissance auprès de son trône.
Le « demandez tout ce que vous voudrez » est pour les Enoch qui marchent avec Dieu, pour les Jean qui reposent sur son sein, pour ceux dont la communion avec Christ est continuelle et ininterrompue.
Le cœur doit demeurer dans l'amour, l'esprit être enraciné dans la foi, l'espérance reposer sur la Parole, l'être tout entier être attaché au Seigneur, sans quoi il serait dangereux de croire à cette puissance dans la prière.
Cette carte blanche ne peut être donnée qu'à ceux dont la vie entière est : « Ce n'est plus moi qui vit, mais c'est Christ qui vit en moi. »
Oh vous qui interrompez votre communion avec lui, quelle puissance vous perdez ! Si vous voulez être puissants et victorieux en plaidant avec lui, il faut que le Seigneur demeure en vous et que vous demeuriez en lui.
COMME LE PALMIER ET COMME LE CEDRE « Le juste croîtra comme le palmier; il s'élèvera comme le cèdre du Liban »
(Psaume : 92 / 12) Ces plantes ne sont pas dressées ni émondées par l'homme. Le palmier et le cèdre sont des arbres de l'Eternel, et c'est par ses soins qu'ils s'élèvent. Il en est ainsi des saints du Seigneur.
Il les cultive de sa propre main. Ces arbres sont toujours verts et en toute saison superbes à voir. De même les croyants ne sont pas tantôt saints et tantôt mondains : ils sont fermes et reflètent la beauté du Seigneur en tout temps.
Partout, ces arbres se font remarquer. Nul ne peut considérer un paysage où se dressent des palmiers ou des cèdres, sans que son oeil soit frappé par leur taille majestueuse.
Les disciples de Christ sont, eux aussi, observés de tous. De même qu'une ville sur une montagne, ils ne peuvent être cachés.
L'enfant de Dieu fleurit comme un palmier qui pousse droit en haut, dans une direction unique, formant une colonne rectiligne, couronnée d'un glorieux chapiteau.
Il ne se jette ni à droite, ni à gauche, mais s'élance tout entier vers le ciel et porte son fruit aussi près du ciel que possible.
Donne-moi, ô Dieu, de réaliser cet emblème !
Le cèdre brave l'orage, et croît même auprès des neiges éternelles, Dieu lui-même le remplissant d'une sève qui le réchauffe intérieurement et affermit ses branches.
Qu'il en soit de même aussi pour moi, Seigneur, je t'en supplie !
Amen CHRIST ET SES ENFANTS « Quand il aura mis son âme en oblation pour le péché, il se verra de la postérité.» (Esaïe : 53 / 10) Jésus notre Sauveur n'est pas mort en vain. Sa mort expiatoire est celle d'un substitut portant la peine de nos péchés.
Par cette substitution acceptée de Dieu, il a sauvé tous ceux pour qui son âme a été offerte en sacrifice. Il a été semblable au grain de blé qui « meurt et porte beaucoup de fruit. »
Par la mort il s'est acquis une postérité dont il peut dire : « Me voici, moi, et les enfants que Dieu m'a donnés. »
« Les enfants sont un héritage de l'Eternel ; heureux l'homme qui en a plein son carquois ! » Un homme se trouve représenté dans ses enfants, mais Christ l'est dans les Chrétiens.
La vie d'un homme se prolonge et se perpétue dans ses descendants. Ainsi la vie de Christ se continue dans celle des croyants.
Jésus vit et il voit sa semence ; il fixe ses yeux sur nous, et met son plaisir en nous qu'il reconnaît pour « le fruit du travail de son âme. »
Il veut jouir du résultat de son sanglant sacrifice et satisfaire continuellement sa vue par la moisson issue de sa mort.
Ses yeux ont pleuré sur nous; ils nous contempleront avec joie. Christ regarde ceux qui regardent à lui. Nos yeux se rencontrent ! Quelle joie dans ces regards !
CHOSES PRECIEUSES « Et sur Joseph il dit : Son pays est béni par l'Éternel, du précieux don des cieux, de la rosée, et de l'abîme qui repose en bas »
(Deutéronome : 33 / 13) Nous pouvons être enrichis des mêmes biens que ceux promis à Joseph, et dans un sens plus élevé encore. Oui, il nous donne « ce qu'il y a de plus exquis aux cieux. »
La puissance de Dieu déployée en notre faveur, et la manifestation de cette puissance d'En-Haut, sont bien une chose des plus précieuses.
Nous voudrions jouir aussi de la paix de Dieu, de la joie du Seigneur, de la gloire de l'Eternel ; recevoir en même temps la bénédiction des trois personnes divines, l'amour de Dieu, la grâce de Jésus-Christ, la communion du Saint-Esprit !
Ce sont là des biens que nous estimons plus que l'or fin. Non, les choses de la terre ne sont rien en comparaison des choses célestes.
Parmi des dons, que « la rosée » est précieuse ! Nous prions Dieu de nous donner la rosée et nous l'en louons. Quelle fraîcheur, quel parfum, quelle croissance, quelle vie elle apporte avec elle ? Nous sommes les plantes du jardin planté par l'Eternel; et nous soupirons après cette rosée du Saint-Esprit !
« L'abîme qui est en bas » nous parle de ces eaux profondes de l'Océan dont sont alimentées toutes les sources vives qui réjouissent la surface de la terre.
Etre toujours nourri par les fontaines éternelles de l'amour divin, quel bienfait inexprimable ! Qu'aucun de nous n'ait de repos qu'il ne l'ait obtenu de la plénitude de l'Eternel, où nous n'avons qu'à puiser dès maintenant.
CHATIMENT MESURE « Car je suis avec toi, dit l'Éternel, pour te délivrer. Je détruirai entièrement toutes les nations parmi lesquelles je t'ai dispersé ; mais toi, je ne te détruirai point entièrement ; je te châtierai avec mesure ; cependant je ne te tiendrai pas pour innocent »
(Jérémie : 30 / 11) Ne jamais être châtié serait un signe fâcheux : de la part de Dieu cela signifierait : « Il s'est attaché aux idoles : laissez-le » Dieu veuille que ce ne soit jamais notre lot !
Une prospérité ininterrompue est une chose qui devrait nous faire craindre et trembler.
Tous ceux que Dieu aime tendrement, il les reprend et les châtie : ceux qu'il n'estime pas, il leur donne le loisir de s'engraisser à leur aise comme les bœufs destinés à la boucherie.
Mais, dans son amour; notre Père céleste use de la verge avec ses enfants.
Cependant remarque que ce sera « avec mesure » qu'il te corrigera. L'amour du Père t'est donné sans mesure, mais son châtiment t'est mesuré soigneusement.
Un homme ne pouvait, sous l'ancienne loi israélite, recevoir que « quarante coups de verge moins un » cela forçait de compter exactement et limitait la souffrance.
Ainsi encore, pour tout membre du peuple de la foi, chaque coup est compté.
C'est la mesure de la sagesse, la mesure de la sympathie, la mesure de l'amour qui règle notre châtiment. Loin de nous la pensée de nous rebeller contre le règlement divin.
Seigneur, si tu es à mon côté pour compter les gouttes amères dans la coupe de ma souffrance, je la prendrai avec joie de ta main et la boirai suivant tes saintes directions en te disant ! « Que ta volonté soit faite. »
J'ai confiance en toi, mon Père, car tu sais ce qui est bon pour ton enfant.
CE QUI VIENT APRES EST MEILLEUR « Je t'ai affligé, mais je ne t'affligerai plus »
(Nahum : 1 / 12) Il y a une limite dans l'affliction. Dieu l'envoie et la retire. Vous soupirez en disant : "Quand viendra la fin ?" Souvenez-vous que vos peines prendront sûrement fin et définitivement fin avec cette pauvre vie terrestre.
Attendons et acceptons donc patiemment la volonté du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.
Toutefois notre Père céleste arrête sa verge quand son dessein a été entièrement accompli. Quand nous serons complètement corrigés de notre folie, il n'y aura plus de coups.
Ou bien, si l'affliction nous est envoyée pour l'épreuve de notre foi, afin que notre soumission puisse glorifier Dieu, elle finira dès qu'il aura pu tirer sa louange de notre témoignage.
Nous ne désirons donc pas que l'épreuve cesse avant qu'il ait pu lui faire rendre tout l'honneur et tout le fruit qu'elle doit lui rapporter.
Il y aura peut-être aujourd'hui un grand calme. Qui sait si ces vagues furieuses ne vont pas faire place à une mer tout unie.
Après qu'il a longtemps battu, le fléau est suspendu au mur, et le blé va reposer dans les greniers.
Sans attendre bien des heures, nous pourrions nous trouver aussi heureux que nous sommes tristes à présent.
Celui qui envoie les nuages peut aussi bien les dissiper.
Ayons donc bon courage, et chantons déjà par avance un réjouissant alléluia.
VOUS ME L'AVEZ FAIT À MOI « Le roi, répondant, leur dira : En vérité, je vous dis : En tant que vous l'avez fait à l'un des plus petits de ceux-ci qui sont mes frères, vous me l'avez fait à moi. »
(Matthieu : 25 / 40) Les nations qui comparaissent devant le roi sont très étonnées d'apprendre que leur juge, si glorieux et si puissant, s'identifie avec ces pauvres et misérables messagers que les uns avaient accueillis et les autres méprisés.
Cela nous fait penser à ce dialogue du Seigneur avec Saul de Tarse, sur le chemin de Damas
(Actes : 9 / 4-5) : « Saul ! Saul ! Pourquoi me persécutes-tu ? »
- Qui es-tu, Seigneur ?
- Je suis Jésus que tu persécutes.
Oui, le Seigneur aime tellement ceux qu'il a rachetés au prix de son sang qu'il est parfaitement sensible à tout ce que l'on fait au plus petit d'entre eux. Ce sera vrai pour ses messagers, les porteurs de l'évangile du royaume ; c'est vrai maintenant pour nous qui faisons partie de son corps, et qu'il n'a pas honte d'appeler ses frères.
Avons-nous conscience de cela dans nos rapports les uns avec les autres ? Avons-nous bien remarqué l'accent que met le Seigneur sur « l'un des plus petits » ? C'est d'abord envers ceux-là que notre affection fraternelle devrait s'exercer à l'imitation de notre Maître qui s'intéressait en priorité aux infortunés.
N'avons-nous pas davantage l'habitude, au moins intérieurement et sans toujours nous l'avouer, de mépriser quelque peu nos frères et sœurs qui n'ont pas bien réussi
leur vie sociale ou professionnelle, ou ceux qui ne comprennent pas vite, ou tout simplement ceux qui, à notre goût, ne sont pas très bien habillés ?
N'oublions pas non plus que, si notre affectueuse sollicitude doit d'abord s'exercer envers « ceux de la maison de la foi », c'est à tous les hommes que nous sommes invités à faire du bien (Galates : 6 / 10)
Souvenons-nous des différentes interventions charitables très pratiques qui sont mentionnées par le Seigneur (Matthieu : 25 / 38-39)
Nourrir, désaltérer, vêtir, héberger les étrangers, servir les malades, et visiter les prisonniers; un large champ d'action pour l'affection fraternelle et l'amour chrétien !
VOUS ÊTES DES HOMMES ET MOI JE SUIS VOTRE DIEU ! « Vous, mes brebis, brebis de mon pâturage, vous êtes des hommes ;
Moi, je suis votre Dieu, dit le Seigneur, l'Éternel. »
(Ézéchiel : 34 / 31) Seigneur, il y a bien des choses que je ne comprends pas, des faits qui me révoltent, des évènements qui me rendent perplexes, qui me troublent ou, plus encore, qui m'ébranlent dans ma foi.
Je ne sais plus quoi penser devant l'injustice, la folie de l'homme, les scandales de toutes sortes tant en dehors qu'au dedans de l'église. Il m'arrive d'être dépassé par ce qui m'entoure, par la noirceur de l'âme humaine, et donc la mienne également.
Dans ces moments, je deviens une proie facile, une brebis égarée qui ne sait plus quoi faire ni où aller, qui ne sait plus comment se nourrir et où se reposer.
Mais voilà, tu connais tout et tu me connais.
Tu m'aimes et tu veux prendre soin de moi dans ma grande faiblesse. Tu sais de quoi je suis fait.
C'est pourquoi, tu me rassures ...
Tu m’assures que je suis ta brebis, celle pour qui tu as de gras et bons pâturages. Dans ma petitesse, tu me dis que tu es mon Dieu.
S'il est vrai que je ne suis qu'un être humain avec toutes ses failles, ses limites, ses hésitations, il n'en reste pas moins vrai que tu es mon Dieu, mon divin berger.
Je te loue de me le rappeler en cet instant.
Je suis si fragile, mais tu es si bon et si grand envers moi. Je n'ai pas besoin de tout comprendre, ni la profondeur du mystère du mal qui a envahi les cœurs et cette pauvre terre, ni la hauteur de tes plans et l'étendue de tes interventions.
Non ! ce que j'ai besoin de savoir c'est que je suis une créature qui fait l'objet de tout ton amour, une faible créature mais si riche de toute ta grâce et de toute ta miséricorde.
VOUS AIMEREZ L’ÉTRANGER « L'Eternel, votre Dieu, est le Dieu des dieux et le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, puissant, et terrible ... qui aime l'étranger pour lui donner le pain et le vêtement. Et vous aimerez l'étranger. »
(Deutéronome : 10 / 17-19) L'Eternel avait solennellement enjoint au peuple d'Israël de se séparer et de rester à l'écart de toutes les tribus idolâtres qui l'entouraient. Cela rend d'autant plus touchant le fait qu'il se qualifie lui même comme celui « qui aime l'étranger », et qu'il ordonne aux Israélites « d'aimer l'étranger ».
Le livre du Deutéronome indique plusieurs manières par lesquelles cet amour pour l'étranger devait se manifester. Tous les trois ans, l'étranger bénéficiait de la dîme versée par les Israélites et pouvait ainsi manger jusqu'à en être rassasié (Deutéronome : 14 / 29)
Comme l'Israélite, l'étranger devait se réjouir aux fêtes de la Pentecôte et des Tabernacles (Deutéronome : 16 / 11 et 14)
On ne devait pas profiter de son statut d'étranger pour réduire ses droits, mais, au contraire, saisir toutes les occasions pour l'associer aux différentes récoltes données par Dieu (Deutéronome : 24 / 17 et 19)
On remarquera que, dans toutes ces instructions, l'étranger est même nommé avant l'orphelin et la veuve.
Une telle sollicitude de Dieu envers l'étranger rend très choquante l'attitude xénophobe et même parfois raciste de certains chrétiens.
Si l'Eternel ordonnait à son peuple d'aimer l'étranger et de le lui montrer en maintes occasions, comme nous devrions nous-mêmes, chrétiens, nous appliquer, non seulement à ne pas mépriser l'étranger, mais à l'aimer et à lui manifester ainsi pratiquement l'amour de Dieu !
Aimer l'étranger devrait être d'autant plus naturel pour les chrétiens qu'ils professent n'être pas de ce monde parce que leur véritable patrie est céleste.
On peut comprendre que les gens du monde, avec l'égoïsme que nous leur reprochons volontiers, défendent leur territoire et leur confort.
Mais les croyants ?
Et puis, nous soutenons financièrement et par la prière les serviteurs de Dieu qui se rendent dans des pays éloignés pour annoncer l'évangile et nous oublierions de témoigner l'amour du Christ à ceux qui sont à nos côtés faute de les aimer comme la Parole nous y invite !
VAINQUEUR « Le malheur poursuit les pécheurs, mais les justes seront récompensés avec prospérité »
(Proverbes : 13 / 21) Avez-vous déjà remarqué que cette affirmation revient dans l'Apocalypse : « A celui qui vaincra, je donnerai ... » Nombreuses promesses au vainqueur.
Ce sont toutes de bonnes choses ! Mais comment pouvons nous être des vainqueurs, nous qui nous sentons souvent si loin de ce que nous pourrions être ...
Ce n'est pas par nous-mêmes que nous le sommes. Christ nous a acquis la victoire, et lorsque nous nous en saisissons, c'est alors que nous sommes forts, et que la victoire couronne notre marche.
« Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions, sachant que l'affliction produit la persévérance, la persévérance la victoire dans l'épreuve, et cette victoire l'espérance. Or, l'espérance ne trompe point, car Dieu a répandu son amour dans nos cœurs par le Saint Esprit qui nous a été donné. » (Romains : 5 / 4-5)
Le salaire du péché, à savoir la mort, n'est plus notre partage quand nous avons saisi et accepté de vivre au bénéfice du sacrifice de Jésus, au bénéfice de son sang précieux.
Dès lors, nous sommes vainqueurs sur toutes les situations qui nous « affligent »
Dieu nous appelle à surmonter, à prendre de face les situations.
Sa Parole dans notre bouche prend vie et transforme les circonstances.
Nous sommes justifiés en Christ.
Dès lors que nous nous repentons, Dieu ne voit plus le péché.
C'est comme s'il n'avait jamais eu lieu.
A vous de choisir entre « le malheur », et la « récompense avec prospérité » que vous tend Jésus.
Aujourd'hui, prends ta victoire sur le péché, prends ta victoire sur cette situation qui t'afflige. Sois vainqueur ! UNE BONNE ŒUVRE « Celui qui a commencé en vous une bonne œuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus Christ. »
(Philippiens : 1 / 6)
Pourquoi vous laisser aller au découragement après vous être enrôlé avec joie comme soldat de Christ.
Pourrais-je persévérer jusqu’au bout ?
Supporter les railleries de ceux qui m’entourent ?
Renoncer à mes aspirations et au monde ?
Triompher du péché ?
Soyons assuré que l’Eternel achèvera ce qui nous concerne.
Adolphe Monod, après expérience faite, écrivait :
« Quand a-t-on vu le Dieu fort commencer et ne pas finir ? »
Et le Psalmiste déclare :
« Ce qu’il t’a plu de commencer, ta main l’achève »