LE SACRIFICE DE JESUS-CHRIST
1° LE SACRIFICE DE JESUS-CHRIST
Il a porté le poids du péché.
(Romains : 8 / 3) : Le péché est condamné dans la chair.
C’est une peine infligée au Christ à cause du péché.
(2 Corinthiens : 5 / 21) : Jésus est devenu, par un acte divin, péché à notre place.
(Galates : 3 / 13) : En devenant « péché » Jésus est devenu aussi « malédiction » pour nous, afin que nous recevions la bénédiction promise.
2° LE SACRIFICE DE JESUS EST VOLONTAIRE
(Jean : 10 / 18) : Jésus n’a pas été obligé de donner sa vie.
Il avait reçu cette possibilité de Dieu : donner sa vie ou la garder.
(Matthieu : 28 / 43) : Cette possibilité est devant Lui jusqu’au bout !
Quelle tentation !
(Galates : 4) : Jésus s’est bien donné de sa propre volonté (Abraham offre Isaac … mais celui-ci accepte (Genèse : 22 / 9)
(Autres références : Éphésiens : 5 / 2 ; Tite : 2 / 14)
(1 Jean : 3 / 16) : Le don volontaire de Jésus doit inspirer notre don volontaire.
3° LE SACRIFICE DE JESUS EST SUBSTITUTIF
Il est mort à la place du pécheur. Il n’avait aucun besoin de venir sur la terre, encore moins de mourir.
Le contraire aurait été normal à notre point de vue.
(Lévitique : 1 / 3-4) : Le fait de poser sa main était une identification, un transfert de peine.
La bête se substituait au coupable.
(Esaïe : 53 / 5-6) : « Pour nos péchés » … « Nous donne la paix »
Même le Diable ne pourrait rien lui reprocher en regardant la Croix.
Face à la Croix, je dis « Il a fait tout cela POUR MOI ! »
(1 Pierre : 2 / 21-24) : Jésus s’est abstenu de toute menace, de toute vengeance, Il a tout accepté POUR NOUS
Son sacrifice est uniquement pour nous … à 100 % de la première angoisse au dernier cri !
4° LE SACRIFICE DE JESUS EST REDEMPEUR
Rédemption = Rachat.
Nous sommes à lui 2 fois : d’abord par la création, puis Satan, par le péché, s’est emparé de nous.
Jésus nous a rachetés par la Croix.
(Actes : 20 / 28) : L’Eglise dans toutes ses composantes est à Lui seulement, il en est le seul propriétaire !
(1 Corinthiens : 6 / 19-20) : Le prix payé par Christ : souffrances physiques, morales, spirituelles.
(Galates : 3 / 13) : Jésus a payé pour que nous ne soyons plus maudits mais pour que nous participions à la bénédiction totale de Dieu.
(Hébreux : 9 / 12) : La mort, la résurrection, l’Ascension du Christ nous parle d’un rachat ETERNEL !
(Éphésiens : 1 / 7-9) : La rédemption … selon la richesse de la grâce.
C’est parce que nous sommes à Lui qu’Il nous communique sa Volonté et qu’Il répand sa Grâce (1 Pierre : 1 / 8 ; Romains : 3 / 24 ; 1 Corinthiens : 1 / 30)
5° LE SACRIFICE DE JESUS EST EXPIATOIRE
L’expiation est un acte par lequel une faute est payée.
Jésus par sa mort, paie pour nos péchés.
(Lévitique : 4 / 24-26) : Pour le pardon des péchés, il fallait d’abord faire l’expiation, imposant les mains à une victime et en la sacrifiant.
(Lévitique : 4 / 35) : Expiation puis pardon.
(Hébreux : 2 / 17) : C’est Jésus qui fait l’expiation, étant souverain sacrificateur, mais il est aussi la victime.
(1 Jean : 2 / 2) : Jésus, la victime … pour les péchés du monde … à condition que le monde l’accepte.
(1 Jean : 4 / 10) : Pas d’amour possible, s’il n’y a pas de pardon.
6° LE SACRIFICE EST PROPITIATOIRE
Il nous rend Dieu favorable (propice) et nous révèle son amour.
Après avoir offert tous les sacrifices dans le tabernacle, le souverain sacrificateur se retrouvait devant le PROPITIATOIRE pour rencontrer Dieu (Exode : 25 / 17-22 ; Nombres : 7 / 8-9)
(Romains : 3 / 25) : C’est la raison de notre justification et de notre communion avec Dieu.
(1 Jean : 4 / 9-10 ; Jean : 3 / 16) : Le sacrifice nous révèle l’étendue de l’amour de Christ.
7° LE SACRIFICE DE JESUS EST EFFICACE
(Romains : 5 / 9-10) : Sauvés de la colère à venir.
(Hébreux : 9 / 9-12) : Les limites des sacrifices et l’efficacité du sacrifice de Christ.
(Hébreux : 10 / 10-17) :
a) Nous sommes sanctifiés (Hébreux : 10 / 10)
b) Nous sommes parfaits (Hébreux : 10 / 14)
c) L’alliance qu’Il fait avec les siens, est éternelle.
d) Les lois sont inscrites dans le cœur par l’Esprit car le cœur est purifié par le Sang de Christ.
e) Ses ennemis = son marchepied.