Comment reconnaître un homme de Dieu ?

1°- Etre un bon père et un bon mari, avoir un foyer bien tenu, devrait être le but de chaque homme chrétien.
 
Tous les maris chrétiens doivent aimer leur femme « Comme Christ a aimé l’Eglise » (Ephésiens : 5 / 25)
 
Ils doivent vivre avec elles en « Reconnaissant que les femmes sont des êtres plus faibles » et les honorer « Comme cohéritières de la grâce de la vie » (1 Pierre : 3 / 7)
 
« Pierre va jusqu’à dire qu’un homme qui ne vit pas ainsi avec sa femme aura des obstacles à ses prières »  (1 Pierre : 3. fin du verset 7)
 
D’autres part, les pères ne doivent pas irriter leurs enfants, mais les élever « En les corrigeant et en les avertissant selon le Seigneur » (Ephésiens : 6 / 4)
 
Paul lui-même, disait être pour les Thessaloniciens, »Ce qu’un père est pour ses enfants » en les «  Exhortant, consolant, adjurant de marcher d’une manière digne de Dieu » (1 Thessaloniciens : 2 / 11)
 
Cette image montre bien sûr comment Paul concevait la responsabilité d’un père à l’égard de ses enfants. Il n’a pas seulement à élever une famille, mais chaque enfant dans cette famille.
 
L’image du père est importante dans l’Ecriture
 
UN BON TEMOIGNAGE DE CEUX DU DEHORS
 
Un certain nombre de passages de l’Ecriture parlent clairement de l’importance pour tous les croyants d’avoir une bonne réputation parmi les non chrétiens.
 
Considérons ces déclarations plutôt claires : (1 Thessaloniciens : 4 / 11 à 12 ; Colossiens : 4 / 5 à 6 ; 1 Corinthiens : 10 / 31 à 33  et 1 Pierre : 2 / 12)
 
Quand nous lisons ces passages, il n’y a pas l’ombre d’un doute que Dieu veut que nous ayons un bon témoignage au milieu des païens.
 
Un chrétien qui n’est pas à la hauteur de ce critère ne devrait pas être nommé dirigeant spirituel dans l’Eglise.
 
Ceci afin de ne pas tomber dans le discrédit.
 
Tomber dans le discrédit, signifie être critiqué ou blâmé pour quelque chose.
 
Cependant, la Bible présente deux perspectives concernant le blâme.
 
1°- Il est inévitable qu’un chrétien subisse des reproches et que cela soit même une bénédiction.
 
2°- Elle dénonce le caractère inadéquat pour un chrétien de subir des reproches.
 
Une perspective positive :
 
Jésus lui-même parla des aspects positifs du blâme (Matthieu : 5 / 11  et  Luc : 6 / 22)
 
Pierre (1 Pierre : 4 / 14)
 
Paul  (2 Timothée : 3 / 12)
 
Ainsi donc, les chrétiens ne devraient pas être surpris lorsqu’ils sont blâmés par des non chrétiens (1 Jean : 3 / 13)
 
Puisqu’ils ont aussi haï Jésus, nous ne devrions pas être surpris qu’ils nous haïssent
(Jean : 15 / 18 à 20)
 
Une perspective négative :
 
Après avoir rappelé aux chrétiens que c’est une bénédiction d’être outragés pour le nom de Christ, Pierre met en garde (1 Pierre : 4 / 15)
 
Cette attitude ne consiste qu’à rechercher des problèmes et cela affecte tout le corps de Christ.
 
Ceci est donc, ce dont Paul parle dans  (Timothée : 3)
 
« Les pièges du diable »
 
Un piège est une trappe ou un nœud coulant. Paul utilise le même plus loin, lorsqu’il parle des riches (1 Timothée : 6 / 9)
 
Dans sa deuxième lettre à Timothée, Paul enseigne comment aider les gens à « Revenir à leur bon sens » et à se « Dégager des pièges du diable qui les a capturés, afin de les soumettre à sa volonté » (2 Timothée : 2 / 26)
 
« Comment, alors, le fait d’être blâmé par des non chrétiens pour une conduite chrétienne coupable conduit-il à être pris dans le piège du diable »
 
Bien qu’il soit difficile de déterminer exactement ce que Paul avait à l’esprit, les Ecritures nous donnent plusieurs indications.
 
1°- LA HONTE
 
Le blâme peut causer chez un homme un terrible sentiment de défaite, d’humiliation, d’embarras et de profonde culpabilité.
 
Dans le même passage déjà cité de (1 Pierre : 4 / 15 à 16)
 
Pierre encourage les chrétiens qui sont blâmés à cause de la « Justice » à prendre courage et à ne pas se sentir coupable ou embarrassés.
 
Un état de tristesse et de désespoir donne au diable l’occasion d’atteindre beaucoup de ses buts, à la fois dans la vie de celui qui a fauté et dans les vies d’autres personnes, chrétiennes ou non.
 
2°- CRAINTE ET PERTE DE CONFIANCE
 
C’est une tendance naturelle de se retirer, de reculer et de se renfermer lorsqu’on est attaqué par qui que ce soit.
 
De même, l’auteur de l’épître aux Hébreux avertit les chrétiens du Nouveau Testament, particulièrement les chrétiens qui ont été mis publiquement dans l’embarras et avaient même perdu leurs biens (Hébreux : 10 / 36)
 
Là encore, si la crainte et la perte de confiance en soi sont une tendance naturelle pour toute personne blâmée, combien plus l’est-elle pour un chrétien charnel qui a péché.
 
Un croyant coupable et honteux est un vrai candidat à la retraite et au repli sur soi. Le piège du diable attend justement d’opérer sur un chrétien découragé.
 
3°- COLERE ET DEFENSIVE
 
Il y a encore une autre réaction au blâme.
 
C’est la revanche (Romains : 12 / 17 à 21)
 
Il est facile de lutter, de se défendre, spécialement lorsqu’on est innocent mais il est encore plus facile de lutter lorsqu’on est coupable : une personne coupable est une personne sur la défensive.
 
Il est bon de rappeler ici, que l’on peut être en colère sans toutefois pécher (Ephésiens : 4 / 26)
 
Mais il est aussi possible de « Laisser le soleil se coucher » sur notre colère et en faisant cela, nous donnons « Accès au diable » (Ephésiens : 4 / 27)
 
De toute évidence, un chrétien qui manque de maturité est extrêmement vulnérable à la colère et particulièrement celui dont la conduite est blâmé par des non chrétiens.
 
AMI DU BIEN
 
1°- Le bien contre le mal :
 
Etre ami du bien signifie vouloir faire le bien et non le mal.
 
Il est intéressant de noter que cette opposition du bien et du mal apparaît fréquemment dans l’Ecriture.
 
Ne sois pas vaincu par le mal », disait Paul, « Mais vainqueur du mal par le bien »
(Romains : 12 / 21)
 
Voyons ce que Paul disait de lui-même (Romains : 7 / 19)
 
Voyons ce qu’il disait aux Corinthiens  (2 Corinthiens : 5 / 10)
 
Bien des mots dans le Nouveau Testament qualifient le bien :
 
Utile, salutaire, plaisant, agréable, excellent, honnête, honorable.
 
Voir aussi (Philippiens : 4 / 8)
 
Par contraste les Ecritures expliquent clairement ce que sont les mauvais désirs et les mauvaises actions. (Romains : 2 / 8 à 9 ; Ephésiens : 4 / 29  et  Tite : 1 / 15 à 16)
 
2°- Ce qui est bibliquement nécessaire pour faire le bien :
 
Aimer le bien ou faire le bien n’est pas automatique. Cela est un processus de croissance spirituelle, de notre désir de ressembler de plus en plus à Jésus-Christ.
Il est vrai (Ephésiens : 2 / 10) ; mais « Que nous le pratiquions c’est autre chose ».
 
C’est lorsque nous décidons de pratiquer le « Bien envers tous » (Galates : 6 / 10) et lorsque nous faisons appel aux ressources de Dieu, que nous sommes capables de faire la volonté de Dieu.
 
3°- Un acte de consécration :
 
La Bible nous montre clairement comment les chrétiens peuvent discerner quelle est la volonté de Dieu.
 
(Romains : 12 / 1 à 2) Ceci est un acte de volonté de notre part. Il implique une détermination.
 
Un homme qui veut être ami du bien doit avant tout être un homme qui aime Dieu, car Dieu est bon.
 
Ce doit être un homme qui se réfère à Dieu pour toute chose et désire marcher régulièrement et jour après jour dans sa volonté.
 
4°- La connaissance de la Parole de Dieu :
 
Quand Paul écrivait à Timothée, il l’exhortait à continuer de pratiquer la Parole de Dieu dans sa vie, à « Rester attaché » à ce qu’il avait « Appris » (2 Timothée : 3 / 14)
 
Paul parlait bien sûr des « Ecrits sacrés », les Saintes Ecritures (2 Timothée : 3 / 16)
 
De plus, il continuait avec (2 Timothée : 3 / 16 à 17)
 
Un homme qui veut être ami du bien doit donc premièrement aimer Dieu et désirer faire Sa volonté. Deuxièmement, il doit aimer la Parole de Dieu et chercher à connaître Sa volonté par ce qu’elle enseigne.
 
5°- Prière pour acquérir la sagesse divine :
 
C’est une chose d’aimer Dieu, d’aimer et connaître Sa Parole, mais c’est autre chose de mettre en pratique les Ecritures d’une façon sage et compréhensive.
 
A cet égard, la prière de Paul pour les Colossiens est unique (Colossiens : 1 / 9 à 10)
 
Jacques parle également de la sagesse (Jacques : 3 / 17)
 
Comment l’obtenir (Jacques : 1 / 5)
 
Ainsi la prière est la clef qui ouvre la Parole de Dieu et ouvre nos yeux et nos cœurs à l’Esprit de Dieu, nous rendant capables, non seulement d’aimer le bien, mais aussi de pratiquer la Parole de Dieu d’une manière sage et compréhensive.
 
JUSTE
 
Le mot juste est traduit dans le Nouveau Testament de différentes manières et utilisé pour exprimer différentes choses.
 
Exemple :
 
La Bible parle du «  Juste et de l’injustice » (Actes : 24 / 15  et  Matthieu : 9 / 13)
 
Paul dit : « Le juste vivra par la foi »  (Romains : 1 / 17)
 
C’est la justice de position.
 
La Bible utilise également le mot juste pour parler d’une autre justice.
 
Exemple :
 
C’est le cas d’un homme qui mène une vie pieuse et juste
 
Joseph était un homme de bien (Matthieu : 1 / 19)
 
De même pour Corneille (Actes : 10 / 22)
 
Hérode craignait Jean-Baptiste sachant qu’il était un homme juste et saint  (Marc : 6 / 20)
 
C’est la justice de position.
 
En d’autres mots, un homme juste est aussi un homme sage, ayant du discernement capable d’établir, dans ses relations avec les autres, des jugements corrects et sensés.
 
Exemples Bibliques :
 
Les Corinthiens  (1 Corinthiens : 6 / 1 à 5)
 
Paul reprochait aux Corinthiens de ne pouvoir résoudre leurs problèmes entre eux, sans entamer des procès. L’Eglise était constitué de chrétiens qui manquaient de maturité psychologique et spirituelle au point qu’il semble qu’aucun n’était qualifié pour être un dirigeant spirituel (1 Corinthiens : 3 / 1 à 3)
 
Un homme juste, c’est un homme sage et compréhensif  (Proverbes : 1 / 1 à 6)
 
Salomon  (1 Rois : 3 / 5 à 9)
 
Un cœur attentif pour gouverner ton peuple, pour discerner le bien du mal (1 Rois : 10 à 12)
 
Réponse de Dieu (1 Rois : 3 / 28)
 
Malheureusement, Salomon ne demeura pas près de Dieu, marchant dans Ses voies faisant Sa volonté. Paul met aussi en garde en ces thermes (1 Corinthiens : 10 / 12)
 
Paul écrit aussi qu’il est constamment sur ses gardes (1 Corinthiens : 9 / 27)
 
Daniel  (Daniel : 1 / 20)
 
Il y avait une raison à cela (Daniel : 1 / 8)
 
A cause de sa consécration à Dieu, il fut miraculeusement sauvé d’une mort horrible dans la fosse aux lions.
 
Comment développer un jugement sensé :
 
Comment un homme peut-il devenir sage et juste ?
 
Il est intéressant de constater qu’un non chrétien peut avoir l’une sans l’autre. Un homme n’a pas besoin d’être croyant pour être juste, dans le sens de tenir des jugements sages et judicieux, concernant les différents problèmes de la vie.
 
Remarquez les nombreux juges et dirigeants non chrétiens qui démontrent cette capacité chaque jour « Il y a des exceptions bien évidemment »
 
Jésus dit un jour (Luc : 16 / 8)
 
Et plus tard (Luc : 18 / 1 à 8)
 
En réalité, un homme sage qui est juste et droit doit aussi posséder la plupart des autres qualifications de dirigeant énumérées par Paul. En fait elles sont inséparables de la qualification de juste et doivent être développées en même temps. Bon nombre de ces qualifications ont un rapport particulier avec la maturité psychologique, et leur sens se rapproche, étroitement et de façon très significative, de celui du mot juste.
 
Ce sont : « Sobre, Sensé, Apte à l’enseignement, Conciliant, Non arrogant, Non coléreux, Non violent, et Pacifique »
 
CONSACRE
 
Le mot consacré comme le mot juste se réfère à la sainteté pratique.
 
Il signifie être libre du péché ou de la méchanceté.
 
Dans le Nouveau Testament, Dieu parle aussi du corps de Christ comme étant un « Temple saint », c’est-à-dire, un groupe de personnes choisies par Dieu et mis à part. (Ephésiens : 2 / 21)
 
De même que les enfants d’Israël n’étaient bien souvent pas dignes de leur vocation, les chrétiens ne sont souvent pas dignes de leur vocation en Christ.
 
En conséquence, Paul devait exhorter les croyants (Ephésiens : 4 / 1)
 
Quand Paul parle d’un homme consacré dans (Tite : 1 / 8), il parle donc d’une attitude de sainteté qui se développe et à laquelle nous sommes appelés à travailler.
C’est cette qualité qui montre qu’un croyant est engagé dans le processus qui le fera devenir semblable à Jésus-Christ, dans sa vie quotidienne et dans sa conduite.
 
1°- Exemple de Christ :
 
Dans le livre des (Hébreux : 7 / 26), Jésus-Christ est présenté comme « Le souverain sacrificateur saint, innocent, immaculé, séparé des pécheurs… »
 
Ici comme dans (Tite : 1 / 8) le mot traduit par saint, se réfère à la sainteté pratique, celle que l’on peut observer.
 
Il est donc possible « D’être » dans ce monde « Sans être » de ce monde. Il est possible d’être mis à part pour Dieu, sans se tenir loin de ceux qui ne connaissent pas Christ.
 
Que doivent être les chrétiens (Matthieu : 5 / 13 à 14)
 
Que dis Jésus-Christ (Matthieu : 5 / 16)
 
2°- Exemple de Paul :
 
En écrivant sa première lettre aux chrétiens de Thessalonique, dans laquelle il méditait sur sa propre conduite parmi ces gens, il disait  (1 Thessaloniciens : 2 / 10)
Voici encore la sainteté pratique. C’était une conduite visible.
 
C’est pourquoi Paul pouvait écrire aux Corinthiens leur disant (1 Corinthiens : 11 / 1)
 
3°- Une exhortation pour chaque croyant :
 
Dans sa lettre aux Ephésiens, Paul nous rappelle une fois encore que les marques de maturité exigées pour les anciens dans (1 Timothée : 3  et  Tite : 1), sont en fait des objectifs pour chaque croyant.
 
Nous devons (Ephésiens : 4 / 24)
 
Paul parle de la marche du chrétien (Ephésiens : 4 / 17)
 
PAS UN NOUVEAU CONVERTI
 
1°- L’intérêt premier de Paul :
 
Le souci essentiel de Paul lorsqu’il écrit à Timothée est d’avertir les dirigeants chrétiens de ne pas nommer des nouveaux convertis comme anciens.
 
Paul veut dire qu’un homme élu pour servir en tant que dirigeant spirituel dans l’Eglise ne devrait pas être un « Chrétien de fraîche date »
 
Cela implique de toute évidence que, quelques soient le zèle ou la sincérité d’un homme, aucun nouveau converti n’a suffisamment d’expérience pour s’attaquer au travail d’ancien dans l’Eglise.
 
Paul donne également la raison : « De peur qu’enflé d’orgueil, il ne tombe sous le jugement du diable » (1 Timothée : 3 / 6)
 
La citation suivante des (Proverbes : 16 / 18) renferme également le souci de Paul concernant le nouveau converti qui pourrait être nommé ancien.
 
Il est important de mettre l’accent sur le fait que le souci de Paul est qu’un nouveau converti n’a pas eu le temps de développer en lui les qualités d’un homme de Dieu mûr.
 
2°- Une application plus étendue :
 
Bien que Paul parle de ne pas nommer ancien un nouveau converti, ce principe peut avoir une application plus étendue. Il est dangereux de donner à tout nouveau converti trop d’importance en tant que chrétien, avant qu’il n’ait acquis certaines marques de maturité.
 
Cela ne veut pas dire évidemment, qu’un nouveau chrétien ne puisse participer en tant que membre du corps de Christ par ses talents, son témoignage et sa vie. Mais cela veut dire qu’une « Mise en vedette » qui met l’accent sur le « Moi », peut entraîner une personne à devenir orgueilleuse, à se prendre pour un « Don spécial », que Dieu accorde à la communauté chrétienne.
 
Paul montre clairement que pendant qu’il exerçait son ministère auprès des Corinthiens, il ne put même pas leur enseigner les vérités de Dieu les plus profondes.
 
Ils manquaient trop de maturité pour les comprendre.
 
Par conséquent la première lettre aux Corinthiens, dans sa totalité, traite essentiellement de problèmes reflétant une conduite puérile et infantile parmi eux :
 
(Chapitre : 1)  Divisions
 
(Chapitre : 3)  Jalousie
 
(Chapitre : 4)  Orgueil
 
(Chapitre : 5) Immoralité
 
(Chapitre : 6)  Procès
 
(Chapitre : 7) Mauvais usage de la sexualité dans le mariage
 
(Chapitre : 8 à 10)  Idolâtrie
 
(Chapitre : 11)  Longueur des cheveux
 
(Chapitre : 11) Abus de la Sainte Cène
 
(Chapitre : 15)  Doutes concernant la résurrection sans laquelle le vrai christianisme ne peut exister.
 
On ne trouve aucun signe de maturité.
 
3°- Le problème de l’orgueil :
 
L’orgueil a causé la ruine de beaucoup de personnes.
 
C’était un péché majeur dans l’histoire d’Israël.
 
Lorsqu’ils entrèrent dans le pays, ils méprisèrent toutes les bénédictions que Dieu leur avait accordées et s’en attribuèrent le mérite (Deutéronome : 8 / 14  et  Juges : 2 / 10)
 

 
 
 



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